Cholet Basket - Orléans Loiret Basket

5 de départ choletais : Kevin IDOMENEE - Matthieu ROBIN - Jean VEILLET - Mickael KESSENS - Rudy GOBERT

Mickael KESSENS puis Kevin IDOMENEE débloquent le compteur choletais à la 2ème minute de jeu. CB passe devant 4 - 3. Jérémie DOUILLET, le fils de David, fait son entrée sur le parquet mais se heurte à Rudy GOBERT pour sa première action offensive. Cholet rentre ses trois dernières tentatives à trois points mais Orléans s'accroche. 7ème minute : 18 - 11. Les intérieurs orléanais, notamment, maintiennent leur équipe à flot en dominant le rebond. Les rouges et blancs souffrent en cette fin de premier quart-temps, à l'image d'Aurélien PATEY, en manque de réussite. Un nouveau panier de Mickael KESSENS, et Cholet conserve un léger avantage. Fin du premier quart : 20 - 17.

Les jeunes choletais attaquent ce deuxième quart du bon pied, par un 4 - 0 et trois interceptions. Orléans restait muet depuis 4 minutes, Bryan PAMPA y remédie par un tir extérieur. Les défenses prennent progressivement le pas sur l'attaque. 15e minute : 26 - 23. Les dernières attaques choletaises sont gaspillées. Jean-François MARTIN sent que sa troupe s'enlise, il prend un temps mort. Les visiteurs, après plusieurs occasions gâchées, repassent devant au score. Les choletais ne parviennent plus à mettre la balle à l'intérieur. Ils n'ont inscrit que 6 points en 9 minutes de jeu dans ce quart. Cholet perd cette période très défensive, 8 - 14. Score à la mi-temps : 28 - 31. 

Petit point statistique : A la pause, peu d'individualités se distinguent dans un match sérré et défensif. Exception faite avec Mickael KESSENS qui fait le boulot. Il incrit 8 points à 100% de réussite. Un chiffre est alarmant pour Cholet. Son adversaire a capté 21 rebonds contre 11 pour Cholet. Le temps de jeu relativement faible de ses deux intérieurs Mickael KESSENS et Rudy GOBERT, en raison des fautes, explique en partie cette défaillance.

C'est reparti pour cette deuxième mi-temps. Mauvaise nouvelle, Mickael KESSENS commet sa 3e faute très tôt dans ce troisième quart. Les difficultés offensives ne semblent pas avoir disparues pour Cholet. 24e minute : 32 - 36. La bataille du rebond, cependant, est plus disputée. Les locaux font preuve de plus de combativité. Ils recollent 36 à 36 et ne laissent plus d'espace à leurs adversaires. Un primé de Clément FAROUX vient confirmer que Cholet est de retour dans la partie. Pas moins de quatre interceptions consécutives ont été effectuées. 28e minute : 42 - 36. Cholet a simplement fini par étouffer son adversaire qui n'a inscrit que 5 petits points dans ce troisième quart. Score : 44 - 36.

Les choletais doivent faire attention de ne pas s'enflammer. Les orléanais reviennent rapidement. 32e minute : 44 - 40. D'autant plus que Cholet continue de gaspiller des munitions sur la ligne des lancers francs. Raphael BINVIGNAT rentre un primé au plus fort de la tempête. 35e minute : 49 - 43. Le jeu est de plus en plus haché à mesure que l'on approche de la fin du match. Dos au mur, Orléans passe un 5 - 0 et recolle à deux petites unités. Il reste deux minutes à jouer. Antonin MOYNET rentre un nouveau trois points et fait prendre l'avantage à son équipe au meilleur des moments. 39e minute : 54 - 55. CB retrouve alors une défense agressive. 56 - 55, deux lancers pour Cholet plus la possession. Les deux lancers sont ratés. Kevin IDOMENEE se rattrape en inscrivant un primé. 59 - 55, 8 secondes à jouer. Cholet s'impose finalement 61 - 58.

C'est un match très disputé qui a donc basculé du côté choletais. L'évaluation collective est de 61 à 60. L'homme du match est l'orléanais Antonin MOYNET qui a bien failli apporter la victoire à son équipe en fin de match. Il signe une grosse ligne de statistiques avec 19 points et 8 rebonds pour 20 d'évaluation. A Cholet, Mickael KESSENS et Matthieu ROBIN se sont distingués. 14 d'évaluation pour tous les deux.

Cette victoire est bonne à prendre pour CB. Le public a pu assister à quelques belles séquences défensives. Il reste néanmoins du boulot en attaque, en témoigne les 21 ballons perdus.

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