2727Minutes
10.6610.66points marqués
4.414.41rebonds
1.931.93passes décisives
12.2412.24evaluation
Moyenne sur la saison
en Jeep Eliteen savoir plus
05 avril 1988
Loudéac (22)
Française
1m98
91kg
Marié, 2 enfants
Records en pro avec cholet basket
- présentation
- carrière
- palmarès
- saisons à CB
- statistiques
- news
- 2017/18 : Strasbourg (Jeep®Elite). Entre opportunités et frustration... Tel est le résumé de la 2e saison alsacienne de Pape Sy, qui voit pourtant poindre la possibilité multiple de remporter des titres majeurs. Strasbourg est en effet un dauphin sérieux de Monaco en saison régulière, et tient également la marée en Ligue des Champions. Pourtant, la Sig, maudite, ne connaîtra ni le bonheur d'un titre en championnat (éliminée en demi-finale par le futur champion manceau), ni à l'échelle de l'Europe (éliminée en quarts de finale par l'AEK Athènes). Et Pape Sy, dans tout ça ? Régulièrement lancé dans le cinq par Vincent Collet, il est un joueur de missions, souvent défensives. Ainsi, son écot offensif reste modeste (4,5 points à 46 %), en dépit d'une certaine adresse extérieure (41 % à 3 points). Mais le tout est stoppé par une hernie discale qui l'éloigne des terrains à compter de février, jusqu'à l'orée des playoffs, où Sy retrouve d'excellentes sensations. Entre-temps, la Sig glane une Coupe de France qui joue les lots modestes de consolation. Pour Pape Sy, l'aube de la quarantaine l'incite à retrouver un rôle majeur : ce sera donc à Cholet !
- 2016/17 : Strasbourg (Pro A). C'est pour gagner des titres et retrouver un rôle de rotation de luxe qu'il rejoint l'Alsace. Là même où il retrouve le goût des joutes européennes (3,7 points en 15 matches), mais la Sig est sorti dès les 32es de finale de la Champions League. En championnat, le Breton perd son statut d'homme du cinq majeur, et paye également le début de saison catastrophique de la Sig (5 défaites en 7 matches). Le rappel de Vincent Collet au chevet alsacien (après l'éviction d'Henrik Dettmann) fait qu'il retrouve ainsi le goût plus ou moins sucré de la concurrence, dont il s'accommode d'ailleurs plus ou moins bien. Son temps de jeu maigrit (17' sur la saison)... et la récompense collective de ses efforts n'est pas encore au bout. Si Strasbourg retrouve des couleurs en cours de saison, le club alsacien échoue lors du match 5 de la finale des playoffs, face à Chalon. Des playoffs au cours desquels Sy est peu utilisé.
- 2015/16 : BCM Gravelines (Pro A). Voilà sa meilleure saison au regard des évaluations. Elle s'explique par une régularité bien plus aiguisée (seulement 6 matches en-deçà des 10 d'évaluation), quand bien même son adresse extérieure s'étiole, et passe en-dessous des 30 %. Mais toujours aussi percutant à destination du cercle, et toujours aidé par un physique très dense pour un arrière-ailier, il est véritablement le maître à jouer du BCM, dont il est le 2e leader aux eval' (14,0, derrière Marcus Dove), et le 3e scoreur. (12,3 points, à 61% à 2 points). Sixièmes de la saison régulière, Sy et Gravelines sont éliminés dès les quarts, et se séparent finalement en fin de saison, puisque le joueur lève sa clause libératoire.
- 2014/15 : BCM Gravelines (Pro A). De retour au BCM, où il signe pour 3 saisons, aux côtés de Christian Monschau qu'il connaît si bien, il livre un début de saison épatant, au sein d'un effectif où il bénéficie d'une confiance totale, car renouvelé à 100 % ou presque. Ses 9 premières matches sont dignes d'un potentiel MVP (19,2 points ; 5,5 rebonds pour 18,2 d'éval) et lui valent d'ailleurs une sélection au All-Star Game, qu'il remporte avec la sélection française. Plus inconstant ensuite, il suit malgré lui le rythme collectif du BCM, qui s'effondre à compter de l'hiver. Au final, l'exercice est frustrant à titre collectif (pas de playoffs), mais globalement réussi individuellement, excepté cette irrégularité qui le poursuit (12,7 points à 45 % ; 4,2 rebonds pour 11,5 d'éval en 30')
- 2013/14 : Le Mans (Pro A). En quête d'un titre, il fait mouche, puisqu'il remporte la Coupe de France et bisse même avec la Leaders Cup, où il se montre très à son aise (16 points, 6 rebonds et 5 passes en demies, devant Strasbourg). Une nouvelle fois faite de hauts et de bas, sa saison se nourrit pourtant de nouveaux progrès défensifs. Seul bémol : cette nouvelle aptitude à se déliter en playoffs, au cours desquels le MSB est sorti dès les quarts par Dijon. Du progrès au tir, même si son temps de jeu s'est un peu élimé (8,3 points à 49% ; 2,2 rebonds ; 8 d'éval en 21').
- 2012/13 : Le Mans (Pro A). En quête d'un nouveau défi, il entame de la meilleure des manières sa première saison en qualité de titulaire. Si son adresse extérieure connaît des hauts et des bas, son début de saison est de bonne facture, d'autant que l'homme a pris du volume dans tous les secteurs du jeu (9,8 points à 44 % ; 4,1 rebonds ; 4,1 fautes provoquées), en dépit d'une blessure qui le tint éloigné des parquets pendant quelques semaines. S'il gagne en régularité, cela n'empêche pas les grosses rechutes (-6 d'eval en quart de finale de playoffs contre l'Asvel). Plutôt performant en Eurocup (9,2 points à 57% à 2 points). Demi-finaliste de la Leaders Cup, il se montre très discret en playoffs, malgré une saison correcte (8,9 points à 45 % ; 3,3 rebonds ; 3,9 fautes provoquées pour 8,5 d'éval en 24').
- 2011/12 : Atlanta Hawks (NBA), puis BCM Gravelines (Pro A), Atlanta Hawks (NBA) et BCM Gravelines (Pro A). Le lock-out NBA induit le fait qu'il fasse son retour vers la France, de manière plus rapide que prévu. Il choisit Gravelines en guise de pied-à-terre, et pour cause : il y retrouve Christian Monschau, son premier coach au Havre. Il accompagne l'impressionnant début de saison du club nordiste, et en est même le principal acteur. Lors de la 4e journée, il atomise Pau à lui tout seul (25 points à 3/5 à 3 points) et indique ainsi que sa départ outre-Atlantique a été suivi d'effet. Après 9 matches, sans pour autant intégrer le cinq majeur du BCM (lock-out oblige !), il compte parmi les meilleurs joueurs français de la ligue. Non conservé par les Hawks à la fin du lock-out, il signe à nouveau avec le BCM, mais connaît un gros passage à vide à son retour en France (7,1 points à seulement 36 % entre la 14e et la 26e journée). Finaliste de la Semaine des As face à Chalon, il doit s'incliner en 3 manches face à Cholet, en quart de finale des playoffs. Au final, le retour en Pro A est mitigé (7,8 points à 39 % ; 2,2 rebonds ; 0,9 passe en 16'), et ce en dépit de l'énorme saison régulière réalisée par le BCM (27 victoires-3 défaites).
- 2010/11 : Atlanta Hawks (NBA), puis Utah Flash (NBDL). Après avoir signé un contrat de 3 ans, il se montre convaincant en préparation, mais se blesse au dos et connaît finalement ses premières minutes dans la grande ligue face à Indiana. Ses premiers points relèvent de l'anecdote : il inscrit en effet un "and one" après une faute de... Kévin Séraphin ! Mais il est finalement envoyé en NBDL, au sein de la franchise des Utah Flash, et est alors conseillé par l'ex-meneur NBAer Nick Van Exel. Sa grinta retrouvée à compter de janvier (22 points face à Austin), il est finalement de retour dans la franchise NBA lors des playoffs, où il ne grapille que des secondes. L'expérience NBA tourne court, donc.
- 2009/10 : Le Havre (Pro A). A 21 ans, il lance pour de bon sa carrière pro, et sait qu'il sera bien entouré. Le futur Choletais John Cox le prend en effet sous son aile à l'entraînement, et cela paie. Après une première moitié de saison compliquée pour le club normand et pour Sy lui-même, le Breton signe un premier match référence lors d'un revers face à Hyères-Toulon (14 points à 5/7, 4 passes) et fait déjà montre de sa polyvalence sur les postes extérieurs. Il est ainsi à nouveau décisif face à Poitiers (17 points à 5/6, 7 rebonds pour 25 d'eval en 25 minutes). Il contribue même, au prix d'une première saison convaincante (5,2 points à 51 %, dont 40 % à 3 points ; 1,7 rebond ; 1,3 passe) à maintenir Le Havre en Pro A. En juin, il est drafté à la surprise générale par les Hawks d'Atlanta (53e position), après avoir tapé dans l'œil des scouts de la franchise lors d'un match face... à Cholet. En réalité, les représentants des Hawks étaient à la base venus observer un certain Kevin Séraphin !
Formation : Pape Sy a été formé au Havre, où il est arrivé en 2004, et où il noue d'entrée une relation très forte avec Christian Monschau, qui sera également son coach du côté de Gravelines. Champion de France 2007 en compagnie d'une jolie collection d'anciens Choletais (Romain Duport, Rudy Jomby, Fabien Causeur, Mérédis Houmounou), et sous la férule de Jean-Manuel Sousa, il marque les esprits, et bénéficie donc de plusieurs apparitions sur le banc des pros, sans pour autant entrer en jeu. C'est finalement lors de la saison 2007-2008 qu'il profite de ses premières minutes en Pro A. Une expérience qu'il met d'entrée à profit, puisqu'il inscrira 5 points en 6 minutes lors d'un déplacement de la Saint-Thomas à Roanne, en milieu de saison régulière. Christian Monschau en fait ainsi une rotation intéressante en vue de la fin de saison... et des playoffs. Lors de la revanche face à Roanne, en quarts de finale, le Breton a en effet le bonheur de participer à la fête havraise, là aussi avec un certain succès (6 points en 7'). Pour Pape, l'heure n'est pourtant pas encore venue de lancer pleinement sa carrière en Pro A. En 2009-2010, il n'est en effet que très peu utilisé par Jean-Manuel Sousa, qui en fait finalement une rotation de premier choix lors de l'exercice qui suit.
Equipe de France : Pape Sy a participé à plusieurs campagnes internationales. Tout d'abord chez les jeunes, où il prend régulièrement part aux sélections U20, avant de compter dans le roster français lors des championnats d'Europe U20, en Slovénie, en 2007 (la France terminera 10e). A ses côtés figurent alors Fabien Causeur ou encore Nando De Colo. Sy, lui, tient un rôle mineur (2 points, 0,9 rebond ; 0,6 passe en 10'). En 2014, il participera également à la tournée de l'équipe de France A' en Chine.
Biographie : Pape Sy est le fils d'Amadou et Fatim Sy. Deux parents qui ont directement inspirés Pape, puisqu'ils furent joueurs puis entraîneurs. Sa sœur, Penda, compté également 6 sélections en équipe de France, après avoir fait carrière à Tarbes, principalement, mais également à Aix-en-Provence, club avec lequel elle remporta la Fiba Europe Cup en 2003. elle fut également médaillée d'argent lors des championnats d'Europe juniors, en 2002. Amadou, le père, porta l'Etoile Sportive Saint-Maurice jusqu'en Nationale IV. Fatim, sa mère, évolua également dans le même club (jusqu'en Excellence Région), après des passages à Marseille et Saint-Amand-les-Eaux.
- 2016/17 : Strasbourg (Pro A). C'est pour gagner des titres et retrouver un rôle de rotation de luxe qu'il rejoint l'Alsace. Là même où il retrouve le goût des joutes européennes (3,7 points en 15 matches), mais la Sig est sorti dès les 32es de finale de la Champions League. En championnat, le Breton perd son statut d'homme du cinq majeur, et paye également le début de saison catastrophique de la Sig (5 défaites en 7 matches). Le rappel de Vincent Collet au chevet alsacien (après l'éviction d'Henrik Dettmann) fait qu'il retrouve ainsi le goût plus ou moins sucré de la concurrence, dont il s'accommode d'ailleurs plus ou moins bien. Son temps de jeu maigrit (17' sur la saison)... et la récompense collective de ses efforts n'est pas encore au bout. Si Strasbourg retrouve des couleurs en cours de saison, le club alsacien échoue lors du match 5 de la finale des playoffs, face à Chalon. Des playoffs au cours desquels Sy est peu utilisé.
- 2015/16 : BCM Gravelines (Pro A). Voilà sa meilleure saison au regard des évaluations. Elle s'explique par une régularité bien plus aiguisée (seulement 6 matches en-deçà des 10 d'évaluation), quand bien même son adresse extérieure s'étiole, et passe en-dessous des 30 %. Mais toujours aussi percutant à destination du cercle, et toujours aidé par un physique très dense pour un arrière-ailier, il est véritablement le maître à jouer du BCM, dont il est le 2e leader aux eval' (14,0, derrière Marcus Dove), et le 3e scoreur. (12,3 points, à 61% à 2 points). Sixièmes de la saison régulière, Sy et Gravelines sont éliminés dès les quarts, et se séparent finalement en fin de saison, puisque le joueur lève sa clause libératoire.
- 2014/15 : BCM Gravelines (Pro A). De retour au BCM, où il signe pour 3 saisons, aux côtés de Christian Monschau qu'il connaît si bien, il livre un début de saison épatant, au sein d'un effectif où il bénéficie d'une confiance totale, car renouvelé à 100 % ou presque. Ses 9 premières matches sont dignes d'un potentiel MVP (19,2 points ; 5,5 rebonds pour 18,2 d'éval) et lui valent d'ailleurs une sélection au All-Star Game, qu'il remporte avec la sélection française. Plus inconstant ensuite, il suit malgré lui le rythme collectif du BCM, qui s'effondre à compter de l'hiver. Au final, l'exercice est frustrant à titre collectif (pas de playoffs), mais globalement réussi individuellement, excepté cette irrégularité qui le poursuit (12,7 points à 45 % ; 4,2 rebonds pour 11,5 d'éval en 30')
- 2013/14 : Le Mans (Pro A). En quête d'un titre, il fait mouche, puisqu'il remporte la Coupe de France et bisse même avec la Leaders Cup, où il se montre très à son aise (16 points, 6 rebonds et 5 passes en demies, devant Strasbourg). Une nouvelle fois faite de hauts et de bas, sa saison se nourrit pourtant de nouveaux progrès défensifs. Seul bémol : cette nouvelle aptitude à se déliter en playoffs, au cours desquels le MSB est sorti dès les quarts par Dijon. Du progrès au tir, même si son temps de jeu s'est un peu élimé (8,3 points à 49% ; 2,2 rebonds ; 8 d'éval en 21').
- 2012/13 : Le Mans (Pro A). En quête d'un nouveau défi, il entame de la meilleure des manières sa première saison en qualité de titulaire. Si son adresse extérieure connaît des hauts et des bas, son début de saison est de bonne facture, d'autant que l'homme a pris du volume dans tous les secteurs du jeu (9,8 points à 44 % ; 4,1 rebonds ; 4,1 fautes provoquées), en dépit d'une blessure qui le tint éloigné des parquets pendant quelques semaines. S'il gagne en régularité, cela n'empêche pas les grosses rechutes (-6 d'eval en quart de finale de playoffs contre l'Asvel). Plutôt performant en Eurocup (9,2 points à 57% à 2 points). Demi-finaliste de la Leaders Cup, il se montre très discret en playoffs, malgré une saison correcte (8,9 points à 45 % ; 3,3 rebonds ; 3,9 fautes provoquées pour 8,5 d'éval en 24').
- 2011/12 : Atlanta Hawks (NBA), puis BCM Gravelines (Pro A), Atlanta Hawks (NBA) et BCM Gravelines (Pro A). Le lock-out NBA induit le fait qu'il fasse son retour vers la France, de manière plus rapide que prévu. Il choisit Gravelines en guise de pied-à-terre, et pour cause : il y retrouve Christian Monschau, son premier coach au Havre. Il accompagne l'impressionnant début de saison du club nordiste, et en est même le principal acteur. Lors de la 4e journée, il atomise Pau à lui tout seul (25 points à 3/5 à 3 points) et indique ainsi que sa départ outre-Atlantique a été suivi d'effet. Après 9 matches, sans pour autant intégrer le cinq majeur du BCM (lock-out oblige !), il compte parmi les meilleurs joueurs français de la ligue. Non conservé par les Hawks à la fin du lock-out, il signe à nouveau avec le BCM, mais connaît un gros passage à vide à son retour en France (7,1 points à seulement 36 % entre la 14e et la 26e journée). Finaliste de la Semaine des As face à Chalon, il doit s'incliner en 3 manches face à Cholet, en quart de finale des playoffs. Au final, le retour en Pro A est mitigé (7,8 points à 39 % ; 2,2 rebonds ; 0,9 passe en 16'), et ce en dépit de l'énorme saison régulière réalisée par le BCM (27 victoires-3 défaites).
- 2010/11 : Atlanta Hawks (NBA), puis Utah Flash (NBDL). Après avoir signé un contrat de 3 ans, il se montre convaincant en préparation, mais se blesse au dos et connaît finalement ses premières minutes dans la grande ligue face à Indiana. Ses premiers points relèvent de l'anecdote : il inscrit en effet un "and one" après une faute de... Kévin Séraphin ! Mais il est finalement envoyé en NBDL, au sein de la franchise des Utah Flash, et est alors conseillé par l'ex-meneur NBAer Nick Van Exel. Sa grinta retrouvée à compter de janvier (22 points face à Austin), il est finalement de retour dans la franchise NBA lors des playoffs, où il ne grapille que des secondes. L'expérience NBA tourne court, donc.
- 2009/10 : Le Havre (Pro A). A 21 ans, il lance pour de bon sa carrière pro, et sait qu'il sera bien entouré. Le futur Choletais John Cox le prend en effet sous son aile à l'entraînement, et cela paie. Après une première moitié de saison compliquée pour le club normand et pour Sy lui-même, le Breton signe un premier match référence lors d'un revers face à Hyères-Toulon (14 points à 5/7, 4 passes) et fait déjà montre de sa polyvalence sur les postes extérieurs. Il est ainsi à nouveau décisif face à Poitiers (17 points à 5/6, 7 rebonds pour 25 d'eval en 25 minutes). Il contribue même, au prix d'une première saison convaincante (5,2 points à 51 %, dont 40 % à 3 points ; 1,7 rebond ; 1,3 passe) à maintenir Le Havre en Pro A. En juin, il est drafté à la surprise générale par les Hawks d'Atlanta (53e position), après avoir tapé dans l'œil des scouts de la franchise lors d'un match face... à Cholet. En réalité, les représentants des Hawks étaient à la base venus observer un certain Kevin Séraphin !
Formation : Pape Sy a été formé au Havre, où il est arrivé en 2004, et où il noue d'entrée une relation très forte avec Christian Monschau, qui sera également son coach du côté de Gravelines. Champion de France 2007 en compagnie d'une jolie collection d'anciens Choletais (Romain Duport, Rudy Jomby, Fabien Causeur, Mérédis Houmounou), et sous la férule de Jean-Manuel Sousa, il marque les esprits, et bénéficie donc de plusieurs apparitions sur le banc des pros, sans pour autant entrer en jeu. C'est finalement lors de la saison 2007-2008 qu'il profite de ses premières minutes en Pro A. Une expérience qu'il met d'entrée à profit, puisqu'il inscrira 5 points en 6 minutes lors d'un déplacement de la Saint-Thomas à Roanne, en milieu de saison régulière. Christian Monschau en fait ainsi une rotation intéressante en vue de la fin de saison... et des playoffs. Lors de la revanche face à Roanne, en quarts de finale, le Breton a en effet le bonheur de participer à la fête havraise, là aussi avec un certain succès (6 points en 7'). Pour Pape, l'heure n'est pourtant pas encore venue de lancer pleinement sa carrière en Pro A. En 2009-2010, il n'est en effet que très peu utilisé par Jean-Manuel Sousa, qui en fait finalement une rotation de premier choix lors de l'exercice qui suit.
Equipe de France : Pape Sy a participé à plusieurs campagnes internationales. Tout d'abord chez les jeunes, où il prend régulièrement part aux sélections U20, avant de compter dans le roster français lors des championnats d'Europe U20, en Slovénie, en 2007 (la France terminera 10e). A ses côtés figurent alors Fabien Causeur ou encore Nando De Colo. Sy, lui, tient un rôle mineur (2 points, 0,9 rebond ; 0,6 passe en 10'). En 2014, il participera également à la tournée de l'équipe de France A' en Chine.
Biographie : Pape Sy est le fils d'Amadou et Fatim Sy. Deux parents qui ont directement inspirés Pape, puisqu'ils furent joueurs puis entraîneurs. Sa sœur, Penda, compté également 6 sélections en équipe de France, après avoir fait carrière à Tarbes, principalement, mais également à Aix-en-Provence, club avec lequel elle remporta la Fiba Europe Cup en 2003. elle fut également médaillée d'argent lors des championnats d'Europe juniors, en 2002. Amadou, le père, porta l'Etoile Sportive Saint-Maurice jusqu'en Nationale IV. Fatim, sa mère, évolua également dans le même club (jusqu'en Excellence Région), après des passages à Marseille et Saint-Amand-les-Eaux.
-2021/23 : sans club
- 2019/21 : BCM Gravelines-Dunkerque (Jeep®ÉLITE)
- 2018/19 : Cholet Basket (Jeep®ÉLITE)
- 2016/18 : SIG Strasbourg (ProA)
- 2014/16 : BCM Gravelines (ProA)
- 2012/14 : Le Mans (ProA)
- 2011/12 : Gravelines (ProA)
- Mars 2011 - Juin 2011 : Atlanta Hawks (NBA)
- Janvier 2011 - Mars 2011 : Utah Flash (D League)
- Septembre 2010 - Décembre 2010 : Atlanta Hawks (NBA)
- 2007/10 : Le Havre (ProA)
- 2005/07 : Le Havre (Espoirs)
Equipe nationale :
- 2007 : Sélection en équipe de France U20 et participation au championnat d'Europe en Slovénie
- 2014 : Sélection en équipe de France A' et participation à la tournée en Chine.
- 2019/21 : BCM Gravelines-Dunkerque (Jeep®ÉLITE)
- 2018/19 : Cholet Basket (Jeep®ÉLITE)
- 2016/18 : SIG Strasbourg (ProA)
- 2014/16 : BCM Gravelines (ProA)
- 2012/14 : Le Mans (ProA)
- 2011/12 : Gravelines (ProA)
- Mars 2011 - Juin 2011 : Atlanta Hawks (NBA)
- Janvier 2011 - Mars 2011 : Utah Flash (D League)
- Septembre 2010 - Décembre 2010 : Atlanta Hawks (NBA)
- 2007/10 : Le Havre (ProA)
- 2005/07 : Le Havre (Espoirs)
Equipe nationale :
- 2007 : Sélection en équipe de France U20 et participation au championnat d'Europe en Slovénie
- 2014 : Sélection en équipe de France A' et participation à la tournée en Chine.
- 2018 : Vainqueur de la Coupe de France
- 2014 : Vainqueur de la Leaders Cup
- Juin 2010 : Drafté au second tour, en 53ème position, par les Atlanta Hawks
- 2007 : Champion de France Espoirs
- 2014 : Vainqueur de la Leaders Cup
- Juin 2010 : Drafté au second tour, en 53ème position, par les Atlanta Hawks
- 2007 : Champion de France Espoirs
SAISON
Afficher plus..2018/2019 : Jeep Elite
saison Saison | club Nom du club | compétition Nom de la compétition | matches Nombre de matches | min Temps de jeu | pts Nombre de points | %tirs Pourcentage aux tirs | %2pts Pourcentage aux tirs à deux points | %3pts Pourcentage aux tirs à trois points | %lf POURCENTAGE aux LANCERS-FRANCS | ro NOMBRE DE REBONDS OFFENSIFS | rd NOMBRE DE REBONDS DÉFENSIFS | rt NOMBRE TOTAL DE REBONDS | ct Nombre de contres | pd Nombre de passes décisives | int Nombre d'interceptions | bp Nombre de balles perdues | fte NOMBRE DE FAUTES INDIVIDUELLES | eval évaluation | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2020-2021 | BCM | Jeep® Elite | 9 | 11.8 | 3.7 | 72.4% | 75% | 37.5% | 92.3% | 0.7 | 0.4 | 1.1 | 0 | 0.8 | 0.9 | 0.9 | 1.4 | 4.7 | |
2019-2020 | BCM | Jeep® Elite | 15 | 19.1 | 4.1 | 44.4% | 41.2% | 32% | 76.9% | 0.3 | 1.8 | 2.1 | 0.1 | 0.8 | 0.5 | 0.3 | 2 | 4.7 | |
2018-2019 | Cholet | Jeep® Elite | 29 | 27.4 | 10.7 | 59.4% | 54.2% | 30.3% | 90.5% | 1.3 | 3.1 | 4.4 | 0.1 | 1.9 | 0.8 | 1.3 | 2.2 | 12.2 | |
2017-2018 | Strasbourg | Basketball Champions League | 9 | 19.9 | 5.7 | 54.7% | 41.7% | 54.5% | 72.2% | 0.4 | 1.7 | 2.1 | 0.3 | 1.1 | 0.7 | 0.7 | 2.3 | 6.6 | |
2017-2018 | Strasbourg | Pro A | 17 | 16 | 4.4 | 53.2% | 48.6% | 38.1% | 78.9% | 0.5 | 1 | 1.5 | 0.1 | 0.7 | 0.6 | 0.6 | 2.5 | 4.5 | |
2017-2018 | Strasbourg | Pro A - Play-Offs | 7 | 14 | 4.9 | 65.7% | 41.7% | 42.9% | 93.8% | 0.3 | 1.3 | 1.6 | 0.1 | 0.1 | 0.1 | 0.7 | 0 | 4.4 | |
2016-2017 | Strasbourg | Pro A - Play-Offs | 10 | 15.7 | 3.3 | 57.6% | 62.5% | 25% | 77.8% | 0.8 | 2.8 | 3.6 | 0 | 0.2 | 0.3 | 0.5 | 2.1 | 5.5 | |
2016-2017 | Strasbourg | Pro A | 29 | 18.4 | 4.9 | 53.8% | 48.8% | 23.8% | 70.3% | 0.6 | 3 | 3.6 | 0.1 | 0.9 | 0.4 | 1.1 | 1.9 | 6.2 | |
2016-2017 | Strasbourg | Basketball Champions League | 15 | 18.3 | 3.7 | 48.5% | 45.7% | 36.4% | 60% | 0.5 | 2.8 | 3.3 | 0 | 0.9 | 0.8 | 0.9 | 0.8 | 5.5 | |
2015-2016 | BCM | Pro A | 32 | 29.9 | 12.3 | 62% | 61.9% | 30.8% | 82.9% | 0.6 | 3.6 | 4.2 | 0.1 | 2.3 | 1.1 | 1.4 | 1.7 | 14 | |
2015-2016 | BCM | Pro A - Play-Offs | 3 | 32 | 11.7 | 52.9% | 65% | 20% | 75% | 0.7 | 1.7 | 2.4 | 0 | 3 | 0.3 | 1.3 | 2.3 | 10.7 | |
2014-2015 | BCM | Pro A | 34 | 30.3 | 12.8 | 55.3% | 54.4% | 35.3% | 76.6% | 1.1 | 3.1 | 4.2 | 0 | 1.4 | 0.8 | 1.9 | 2.1 | 11.5 | |
2013-2014 | Le Mans | Pro A - Play-Offs | 2 | 16.5 | 6.5 | 71.4% | 66.7% | 75% | 0% | 1 | 1.5 | 2.5 | 0 | 1.5 | 1 | 0.5 | 3 | 10 | |
2013-2014 | Le Mans | Pro A | 30 | 21.4 | 8.2 | 53.3% | 56.1% | 29.9% | 72.3% | 0.5 | 1.5 | 2 | 0.2 | 1.3 | 0.5 | 1 | 1.6 | 7.2 | |
2013-2014 | Le Mans | Eurocup | 10 | 22.2 | 6.3 | 50% | 38.9% | 28.6% | 100% | 0.8 | 1.9 | 2.7 | 0.1 | 2.4 | 0.4 | 1.2 | 2.3 | 7 | |
2012-2013 | Le Mans | Eurocup | 6 | 24.3 | 9.2 | 55.4% | 57.7% | 22.2% | 63.3% | 0.3 | 2.8 | 3.1 | 0.2 | 0.7 | 0 | 1.7 | 2.2 | 6.7 | |
2012-2013 | Le Mans | Euroleague - Qualifying Rounds | 3 | 27.7 | 7.7 | 61.5% | 63.6% | 0% | 75% | 0.7 | 3.7 | 4.4 | 0 | 0.7 | 0 | 1.7 | 2 | 7.7 | |
2012-2013 | Le Mans | Pro A - Play-Offs | 3 | 22 | 5.3 | 33.3% | 33.3% | 16.7% | 66.7% | 0.3 | 1 | 1.3 | 0 | 1.7 | 0.7 | 1.7 | 3 | 1.3 | |
2012-2013 | Le Mans | Pro A | 26 | 25.7 | 9.7 | 58.7% | 56.6% | 31.1% | 75.7% | 0.8 | 2.8 | 3.6 | 0.3 | 1.2 | 0.7 | 1.6 | 2.5 | 9.5 | |
2011-2012 | BCM | Pro A - Play-Offs | 2 | 9.5 | 4.5 | 70% | 50% | 0% | 83.3% | 1 | 0.5 | 1.5 | 0 | 0 | 1 | 0.5 | 2 | 5 | |
2011-2012 | BCM | Pro A | 25 | 18.1 | 8.8 | 52% | 41.1% | 39.4% | 73.6% | 0.5 | 2 | 2.5 | 0.1 | 1 | 0.5 | 1.1 | 1.4 | 7 | |
2011-2012 | BCM | Euroleague - Qualifying Rounds | 1 | 10 | 0 | 0% | 0% | 0% | 0% | 1 | 0 | 1 | 0 | 1 | 0 | 0 | 1 | 1 | |
2011-2012 | BCM | Eurocup | 7 | 18.6 | 7.7 | 52.5% | 60% | 26.3% | 68.2% | 0.6 | 3 | 3.6 | 0.1 | 0.9 | 0.6 | 1.7 | 2.3 | 7 | |
2010-2011 | Atlanta Hawks | NBA Playoffs | 4 | 2.8 | 1.5 | 57.1% | 66.7% | 0% | 50% | 0.3 | 0 | 0.3 | 0 | 0.8 | 0.3 | 0.3 | 0.3 | 1.8 | |
2010-2011 | Atlanta Hawks | NBA Play-Offs | 4 | 2.8 | 1.5 | 57.1% | 66.7% | 0% | 50% | 0.3 | 0 | 0.3 | 0 | 0.8 | 0.3 | 0.3 | 0.3 | 1.8 | |
2010-2011 | Utah Flash | G-League | 23 | 21.7 | 8 | 55.5% | 47.3% | 15% | 73.7% | 0.9 | 2.6 | 3.5 | 0 | 1.3 | 0.3 | 1.8 | 2.3 | 6.9 | |
2010-2011 | Atlanta Hawks | NBA | 3 | 7 | 2.3 | 55.6% | 40% | 0% | 100% | 0.7 | 0.3 | 1 | 0 | 0.7 | 0.3 | 1 | 0.3 | 2 | |
2009-2010 | Le Havre | Pro A | 30 | 14.2 | 5.2 | 59.3% | 54.7% | 41.4% | 71% | 0.3 | 1.4 | 1.7 | 0.1 | 1.3 | 0.6 | 1.2 | 1.9 | 5.5 | |
2008-2009 | Le Havre | Pro A | 1 | 2 | 0 | 0% | 0% | 0% | 0% | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | -2 | |
2008-2009 | Le Havre U21 | France - Pro A U21 | 11 | 21.5 | 13.7 | 57.9% | 54.3% | 30% | 75% | 0.9 | 1.8 | 2.7 | 0.3 | 2.9 | 1.5 | 2.5 | 2.1 | 12.3 | |
2008-2009 | Le Havre U21 | France - Jeep Elite U21 | 11 | 21.5 | 13.7 | 57.9% | 54.3% | 30% | 75% | 0.9 | 1.8 | 2.7 | 0.3 | 2.9 | 1.5 | 2.5 | 2.1 | 12.3 | |
2007-2008 | Le Havre U21 | France - Jeep Elite U21 - Trophée du Futur | 2 | 33 | 13.5 | 51.4% | 52.9% | 0% | 69.2% | 0.5 | 4.5 | 5 | 0.5 | 3.5 | 0.5 | 2.5 | 1 | 12 | |
2007-2008 | Le Havre U21 | France - Pro A U21 - Trophee du Futur | 2 | 33 | 13.5 | 51.4% | 52.9% | 0% | 69.2% | 0.5 | 4.5 | 5 | 0.5 | 3.5 | 0.5 | 2.5 | 1 | 12 | |
2007-2008 | Le Havre | Pro A | 5 | 4 | 1.2 | 37.5% | 20% | 100% | 50% | 0.4 | 0.2 | 0.6 | 0 | 0.2 | 0 | 0.2 | 0 | 0.8 | |
2007-2008 | Le Havre | Pro A - Play-Offs | 2 | 7 | 5.5 | 53.8% | 80% | 0% | 50% | 0 | 0 | 0 | 0 | 0.5 | 1.5 | 0.5 | 0.5 | 4 | |
2007-2008 | U20 France | U20 European Championship - Div A | 8 | 10.4 | 2 | 44% | 41.7% | 0% | 60% | 0.4 | 0.5 | 0.9 | 0 | 0.6 | 0.1 | 0.9 | 1.5 | 1 | |
2006-2007 | Le Havre U21 | France - Pro A U21 | 32 | 21.7 | 7.8 | 52.4% | 56.3% | 29.3% | 62.4% | 0 | 0 | 0 | 0.1 | 2.6 | 1.2 | 2.4 | 0 | 7.7 | |
2006-2007 | Le Havre U21 | France - Jeep Elite U21 | 32 | 21.7 | 7.8 | 52.4% | 56.3% | 29.3% | 62.4% | 0 | 0 | 0 | 0.1 | 2.6 | 1.2 | 2.4 | 0 | 7.7 | |
2005-2006 | Le Havre U21 | France - Pro A U21 | 23 | 13.1 | 4.7 | 47.5% | 43.9% | 24.2% | 67.3% | 0 | 0 | 0 | 0 | 1.2 | 0.7 | 1.4 | 0 | 3.3 | |
2005-2006 | Le Havre U21 | France - Jeep Elite U21 | 23 | 13.1 | 4.7 | 47.5% | 43.9% | 24.2% | 67.3% | 0 | 0 | 0 | 0 | 1.2 | 0.7 | 1.4 | 0 | 3.3 | |
2004-2005 | Le Havre U21 | France - Pro A U21 | 13 | 11.9 | 3.7 | 44.1% | 42.1% | 50% | 42.3% | 0 | 0 | 0 | 0.1 | 1 | 1 | 1.8 | 0 | 2.6 | |
2004-2005 | Le Havre U21 | France - Jeep Elite U21 | 13 | 11.9 | 3.7 | 44.1% | 42.1% | 50% | 42.3% | 0 | 0 | 0 | 0.1 | 1 | 1 | 1.8 | 0 | 2.6 |