2121Minutes
7.257.25points marqués
2.332.33rebonds
1.51.5passes décisives
7.587.58evaluation
Moyenne sur la saison
en Pro Aen savoir plus
28 février 1980
Tours (37)
Française
2m00
100kg
Records en pro avec cholet basket
- présentation
- carrière
- palmarès
- saisons à CB
- statistiques
- news
C'est un professeur de sport à l'œil avisé qui incite Olivier Bardet à se munir d'un ballon de basket, au collège. Bien lui en prend, puisque le jeune Tourangeau, qui signe sa première licence à Joue-lès-Tours, intègre rapidement le Pôle Régional minimes local, tout en goûtant à ses premières sélections nationales en U16.
Repéré par Cholet, il va se goinfrer de titres pendant ses années de cadet et d'espoirs. Dès sa deuxième saison sous le maillot de CB, en 1996-1997, il signe d'excellents débuts en espoirs (20 points contre Limoges, pour son premier match !), et rafle la Coupe de France cadets (5 points en finale contre Evreux), avant de récidiver à Valence, lors du Final Four du Championnat, où les élèves de Jacky Périgois décrochent un nouveau titre de champion de France (10 points en finale... toujours contre l'ALM Evreux !).
Vous avez dit doublé ? Certes, mais il faut le décliner avec la saison qui suit, en 1997-1998, où il participe à la fois au sacre national des cadets et des espoirs, en championnat. Il faudra ajouter deux Trophées du Futur pour venir circonscrire la qualité de l'armoire à coupes qui habille la chambre d'Olivier Bardet, autre symbole d'une génération choletaise dorée (celle des Jeanneau, Ferchaud, Marquis, etc...).
En parallèle, vient l'heure du baptême du feu en Pro A. Celui-ci est précoce, puisqu'il intervient alors que Bardet n'est âgé que de 18 ans (en 1998-1999), lors d'une victoire face à.... Evreux (encore et toujours !), où le jeune bizut inscrit d'ailleurs ses deux premiers points. Idem en Coupe Saporta, où il est lancé dans le grand bain face aux Macédoniens de Skopje (7 points et 1 rebond en 6 minutes). L'été qui suit, le Tourangeau enfile le maillot bleu, à l'occasion des championnats d'Europe U18 à Varna, en Bulgarie. Certes, l'équipe de France n'y vit pas la plus brillante des campagnes estivales (10e sur 12), mais Olivier Bardet appréhende comme il se doit le niveau européen (4,3 points ; 2,6 rebonds), aux côtés d'une énorme collection de Choletais au présent, passé ou futur (Cédric Ferchaud, Claude Marquis, David Gautier, Mamoutou Diarra, Luca Vebobe), et également en compagnie d'un certain Tony Parker.
L'Europe ? Olivier Bardet va y plonger la tête en avant, dès la saison 1999-2000. Cette fois, il n'est plus question de joute de jeunesse, mais de la grande et prestigieuse Euroleague, dont CB s'est ouvert les portes en grand. Au sein d'un roster sans doute trop peu taillé pour la compétition, Olivier Bardet profite de l'aubaine, et grapille quelques minutes de jeu contre des mastodontes du continent : le Panathinaikos de Dejan Bodiroga (il inscrira d'ailleurs 5 points lors de la mémorable victoire de CB face au Pana, à la Meilleraie), le Real Madrid, le PAOK Salonique... Un apprentissage à vitesse grand V, doublé de responsabilités accrues chez les professionnels. En 2000-2001, pour la dernière saison d'Eric Girard aux commandes de CB, il affiche plus largement ses qualités de shooteurs hors pair (13 points à 3/4 à trois points face à Montpellier). Bref, le jeune homme se construit clairement un avenir chez les pros. Le tout en confirmant largement chez les espoirs (15,5 points à 41 % à trois points ; 3,8 rebonds ; 2,1 passes en 25 minutes).
Intégré pleinement avec les pros en 2001-2002, sous la houlette de Savo Vucevic, il confirme ses aptitudes (10 points face à Hyères-Toulon), avant de peser sur la victoire de CB en 1/4 de finale de playoffs, face à Dijon (12 points à l'aller, à 4/7 à trois points). Conscient de son potentiel, mais aussi du fait qu'il doit bénéficier de temps de jeu pour pouvoir étaler son rendement, CB opte alors pour un prêt de deux ans à Reims. Là même où il va totalement exploser, en dépit d'un déchirement du talon d'Achille en 2002.
En Pro B, il prend très clairement une autre dimension, et ses copies ne se résument pas seulement à celles de l'excellent shooteur qu'il demeure par ailleurs (10 rebonds face à Chalons et Beauvais). En 28 rencontres, il ne descendra que 5 fois sous la barre des 10 points, tout en faisant des malheurs derrière l'arc (8/15 à trois points contre Saint-Etienne). Bref, aux côtés de Régis Boissié, il est l'artisan majeur de la montée du club rémois en Pro A, pour la saison qui suit.
Pour son retour en Pro A, Reims surprend, et le Tourangeau n'y est pas étranger. Ironie du sort : c'est lui qui martyrise CB, à la Meilleraie, lors de la victoire du promu en terres choletaises, lors de la 4e journée (20 points à 3/6 à trois points ; 7 rebonds). Face à Roanne, il établit même son record de points dans la division (26). Quatrième évaluation de son équipe en fin de saison (11,8 points à 40 % à trois points ; 3,6 rebonds ; 2,6 passes ; 13 d'évaluation en 30 minutes), il assure le maintien de Reims au sein de l'élite. Une fin de prêt idéale. Car il est déjà temps de rentrer sur Cholet.
Là, la difficulté s'accroit. Tout d'abord parce que CB lorgne sur le premier quart de Pro A, mais aussi parce que la concurrence est rude, à l'aile (avec Cédric Ferchaud et David Gautier). Ainsi, en 2004-2005, son rendement général est légèrement revu à la baisse (5,9 points ; 2,6 rebonds), mais son adresse reste identique (40 %) et précieuse (20 points à 6/9 à trois points face à Vichy), alors que son temps de jeu s'étiole (19'). Défait en finale de Coupe de France face à Gravelines, il sait néanmoins que son avenir s'inscrit à CB. Et son été se dessine avec l'équipe de France A', qui effectue une tournée aux Etats-Unis.
Hélas, la saison suivante sera synonyme de blessure. Pourtant, il ajuste parfaitement la mire en Fiba Europe Cup (11,2 points), et même en Pro A, où il se montre plus percutant à destination du cercle, tout en conservant sa main de velours à distance. Mais après 14 journées tout à fait correctes (8,2 points à 44%), il subit une fracture de fatigue au tibia, qui le tiendra éloigné des parquets jusqu'en fin de saison. A l'été 2006, il est néanmoins rappelé en équipe de France A'.
Les choses vont hélas se gâter en 2006-2007. D'abord parce que Cholet vit un début de saison chaotique, marqué par l'éviction de Ruddy Nelhomme et par l'intérim de Jacky Périgois. Erman Kunter est rappelé à la rescousse ? C'est le temps de jeu d'Olivier Bardet qui en subit principalement les conséquences. Très peu utilisé par le Turc (2,9 points ; 1,3 rebonds en 7'), le Tourangeau sent que la suite de sa carrière s'inscrira loin des Mauges. De fait, puisqu'il n'aura plus le loisir d'évoluer en Pro A. Il s'inscrira en revanche pleinement dans les projets de l'Hermine de Nantes, puis d'un Monaco en pleine ascension. Sur le Rocher, il retrouvera l'ex-Choletais Anthony Christophe, qui fut également son partenaire lors de tournois 3x3. Reconverti dans l'immobilier, il s'engage avec Marseille (N2) en 2015-2016, où il satisfait pleinement son rôle de capitaine du SMUC.
Repéré par Cholet, il va se goinfrer de titres pendant ses années de cadet et d'espoirs. Dès sa deuxième saison sous le maillot de CB, en 1996-1997, il signe d'excellents débuts en espoirs (20 points contre Limoges, pour son premier match !), et rafle la Coupe de France cadets (5 points en finale contre Evreux), avant de récidiver à Valence, lors du Final Four du Championnat, où les élèves de Jacky Périgois décrochent un nouveau titre de champion de France (10 points en finale... toujours contre l'ALM Evreux !).
Vous avez dit doublé ? Certes, mais il faut le décliner avec la saison qui suit, en 1997-1998, où il participe à la fois au sacre national des cadets et des espoirs, en championnat. Il faudra ajouter deux Trophées du Futur pour venir circonscrire la qualité de l'armoire à coupes qui habille la chambre d'Olivier Bardet, autre symbole d'une génération choletaise dorée (celle des Jeanneau, Ferchaud, Marquis, etc...).
En parallèle, vient l'heure du baptême du feu en Pro A. Celui-ci est précoce, puisqu'il intervient alors que Bardet n'est âgé que de 18 ans (en 1998-1999), lors d'une victoire face à.... Evreux (encore et toujours !), où le jeune bizut inscrit d'ailleurs ses deux premiers points. Idem en Coupe Saporta, où il est lancé dans le grand bain face aux Macédoniens de Skopje (7 points et 1 rebond en 6 minutes). L'été qui suit, le Tourangeau enfile le maillot bleu, à l'occasion des championnats d'Europe U18 à Varna, en Bulgarie. Certes, l'équipe de France n'y vit pas la plus brillante des campagnes estivales (10e sur 12), mais Olivier Bardet appréhende comme il se doit le niveau européen (4,3 points ; 2,6 rebonds), aux côtés d'une énorme collection de Choletais au présent, passé ou futur (Cédric Ferchaud, Claude Marquis, David Gautier, Mamoutou Diarra, Luca Vebobe), et également en compagnie d'un certain Tony Parker.
L'Europe ? Olivier Bardet va y plonger la tête en avant, dès la saison 1999-2000. Cette fois, il n'est plus question de joute de jeunesse, mais de la grande et prestigieuse Euroleague, dont CB s'est ouvert les portes en grand. Au sein d'un roster sans doute trop peu taillé pour la compétition, Olivier Bardet profite de l'aubaine, et grapille quelques minutes de jeu contre des mastodontes du continent : le Panathinaikos de Dejan Bodiroga (il inscrira d'ailleurs 5 points lors de la mémorable victoire de CB face au Pana, à la Meilleraie), le Real Madrid, le PAOK Salonique... Un apprentissage à vitesse grand V, doublé de responsabilités accrues chez les professionnels. En 2000-2001, pour la dernière saison d'Eric Girard aux commandes de CB, il affiche plus largement ses qualités de shooteurs hors pair (13 points à 3/4 à trois points face à Montpellier). Bref, le jeune homme se construit clairement un avenir chez les pros. Le tout en confirmant largement chez les espoirs (15,5 points à 41 % à trois points ; 3,8 rebonds ; 2,1 passes en 25 minutes).
Intégré pleinement avec les pros en 2001-2002, sous la houlette de Savo Vucevic, il confirme ses aptitudes (10 points face à Hyères-Toulon), avant de peser sur la victoire de CB en 1/4 de finale de playoffs, face à Dijon (12 points à l'aller, à 4/7 à trois points). Conscient de son potentiel, mais aussi du fait qu'il doit bénéficier de temps de jeu pour pouvoir étaler son rendement, CB opte alors pour un prêt de deux ans à Reims. Là même où il va totalement exploser, en dépit d'un déchirement du talon d'Achille en 2002.
En Pro B, il prend très clairement une autre dimension, et ses copies ne se résument pas seulement à celles de l'excellent shooteur qu'il demeure par ailleurs (10 rebonds face à Chalons et Beauvais). En 28 rencontres, il ne descendra que 5 fois sous la barre des 10 points, tout en faisant des malheurs derrière l'arc (8/15 à trois points contre Saint-Etienne). Bref, aux côtés de Régis Boissié, il est l'artisan majeur de la montée du club rémois en Pro A, pour la saison qui suit.
Pour son retour en Pro A, Reims surprend, et le Tourangeau n'y est pas étranger. Ironie du sort : c'est lui qui martyrise CB, à la Meilleraie, lors de la victoire du promu en terres choletaises, lors de la 4e journée (20 points à 3/6 à trois points ; 7 rebonds). Face à Roanne, il établit même son record de points dans la division (26). Quatrième évaluation de son équipe en fin de saison (11,8 points à 40 % à trois points ; 3,6 rebonds ; 2,6 passes ; 13 d'évaluation en 30 minutes), il assure le maintien de Reims au sein de l'élite. Une fin de prêt idéale. Car il est déjà temps de rentrer sur Cholet.
Là, la difficulté s'accroit. Tout d'abord parce que CB lorgne sur le premier quart de Pro A, mais aussi parce que la concurrence est rude, à l'aile (avec Cédric Ferchaud et David Gautier). Ainsi, en 2004-2005, son rendement général est légèrement revu à la baisse (5,9 points ; 2,6 rebonds), mais son adresse reste identique (40 %) et précieuse (20 points à 6/9 à trois points face à Vichy), alors que son temps de jeu s'étiole (19'). Défait en finale de Coupe de France face à Gravelines, il sait néanmoins que son avenir s'inscrit à CB. Et son été se dessine avec l'équipe de France A', qui effectue une tournée aux Etats-Unis.
Hélas, la saison suivante sera synonyme de blessure. Pourtant, il ajuste parfaitement la mire en Fiba Europe Cup (11,2 points), et même en Pro A, où il se montre plus percutant à destination du cercle, tout en conservant sa main de velours à distance. Mais après 14 journées tout à fait correctes (8,2 points à 44%), il subit une fracture de fatigue au tibia, qui le tiendra éloigné des parquets jusqu'en fin de saison. A l'été 2006, il est néanmoins rappelé en équipe de France A'.
Les choses vont hélas se gâter en 2006-2007. D'abord parce que Cholet vit un début de saison chaotique, marqué par l'éviction de Ruddy Nelhomme et par l'intérim de Jacky Périgois. Erman Kunter est rappelé à la rescousse ? C'est le temps de jeu d'Olivier Bardet qui en subit principalement les conséquences. Très peu utilisé par le Turc (2,9 points ; 1,3 rebonds en 7'), le Tourangeau sent que la suite de sa carrière s'inscrira loin des Mauges. De fait, puisqu'il n'aura plus le loisir d'évoluer en Pro A. Il s'inscrira en revanche pleinement dans les projets de l'Hermine de Nantes, puis d'un Monaco en pleine ascension. Sur le Rocher, il retrouvera l'ex-Choletais Anthony Christophe, qui fut également son partenaire lors de tournois 3x3. Reconverti dans l'immobilier, il s'engage avec Marseille (N2) en 2015-2016, où il satisfait pleinement son rôle de capitaine du SMUC.
- 2015/19 : Marseille (N2)
- 2014/15 : Récy (N3)
- 2012/14 : Monaco (N1)
- 2007/12 : Nantes (Pro B)
- 2004/07 : Cholet Basket (Pro A)
- 2002/04 : Reims (Pro B puis Pro A)
- 2000/02 : Cholet Basket (Pro A)
- 1999/00 : Cholet Basket (Espoirs et Pro A)
- 1995/99 : Cholet Basket (Centre de Formation)
Equipe de France :
- 2006 : Sélection en Equipe de France A'
- 2005 : Sélection en Equipe de France A'
- 2003 : Sélection en Equipe de France A
- 1998 : Sélection en Equipe de France des 18 ans et moins et Participation au Championnat d'Europe
- 2014/15 : Récy (N3)
- 2012/14 : Monaco (N1)
- 2007/12 : Nantes (Pro B)
- 2004/07 : Cholet Basket (Pro A)
- 2002/04 : Reims (Pro B puis Pro A)
- 2000/02 : Cholet Basket (Pro A)
- 1999/00 : Cholet Basket (Espoirs et Pro A)
- 1995/99 : Cholet Basket (Centre de Formation)
Equipe de France :
- 2006 : Sélection en Equipe de France A'
- 2005 : Sélection en Equipe de France A'
- 2003 : Sélection en Equipe de France A
- 1998 : Sélection en Equipe de France des 18 ans et moins et Participation au Championnat d'Europe
- 2013/14 : Champion de France N1
- 2004/05 : Finaliste de la Coupe de France
- 2002/03 : Champion de France ProB
- 2000/01 : Vainqueur du Trophée du Futur
- 1999/00 : Vainqueur du Trophée du Futur
- 1997/98 : Champion de France Cadets
- 1996/97 : Champion de France Espoirs
- 1996/97 : Champion de France Cadets
- 1996/97 : Vainqueur de la Coupe de France Cadets
- 2004/05 : Finaliste de la Coupe de France
- 2002/03 : Champion de France ProB
- 2000/01 : Vainqueur du Trophée du Futur
- 1999/00 : Vainqueur du Trophée du Futur
- 1997/98 : Champion de France Cadets
- 1996/97 : Champion de France Espoirs
- 1996/97 : Champion de France Cadets
- 1996/97 : Vainqueur de la Coupe de France Cadets
SAISON
Afficher plus..saison Saison | club Nom du club | compétition Nom de la compétition | matches Nombre de matches | min Temps de jeu | pts Nombre de points | %tirs Pourcentage aux tirs | %2pts Pourcentage aux tirs à deux points | %3pts Pourcentage aux tirs à trois points | %lf POURCENTAGE aux LANCERS-FRANCS | ro NOMBRE DE REBONDS OFFENSIFS | rd NOMBRE DE REBONDS DÉFENSIFS | rt NOMBRE TOTAL DE REBONDS | ct Nombre de contres | pd Nombre de passes décisives | int Nombre d'interceptions | bp Nombre de balles perdues | fte NOMBRE DE FAUTES INDIVIDUELLES | eval évaluation | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2013-2014 | Monaco | France - NM 1 | 33 | 22.1 | 8.7 | 49% | 34% | 45.4% | 96.6% | 0.7 | 3.5 | 4.2 | 0.2 | 1.5 | 1.2 | 0.8 | 1.8 | 11.1 | |
2012-2013 | Monaco | France - NM 1 Play-Offs | 1 | 20 | 8 | 57.1% | 0% | 50% | 100% | 1 | 1 | 2 | 0 | 0 | 1 | 1 | 5 | 7 | |
2012-2013 | Monaco | France - NM 1 | 27 | 26.3 | 11.8 | 55.8% | 55.2% | 44% | 92% | 0.4 | 3.7 | 4.1 | 0.3 | 1.6 | 1 | 1 | 2 | 13.5 | |
2011-2012 | Nantes | France - Pro B | 15 | 20.5 | 9.5 | 51.2% | 44.8% | 46.5% | 73.9% | 0.2 | 2.3 | 2.5 | 0.1 | 1.2 | 0.8 | 1.5 | 2.6 | 8.5 | |
2010-2011 | Nantes | France - Pro B | 34 | 23.3 | 8.3 | 50.8% | 49.3% | 42.2% | 76% | 0.6 | 2.3 | 2.9 | 0.1 | 1.7 | 0.8 | 1.6 | 2.7 | 8.3 | |
2009-2010 | Nantes | France - Pro B | 16 | 27.8 | 10.5 | 50.3% | 48.5% | 45.5% | 72.7% | 0.4 | 3.6 | 4 | 0.3 | 2 | 1.7 | 0.8 | 2.8 | 13.3 | |
2008-2009 | Nantes | France - Pro B Play-Offs | 3 | 30.7 | 10 | 58.1% | 72.7% | 18.2% | 88.9% | 0.3 | 6.7 | 7 | 0.3 | 3 | 2.3 | 2 | 2.7 | 16.3 | |
2008-2009 | Nantes | France - Pro B | 34 | 26.6 | 10.2 | 46.5% | 39.2% | 41.4% | 80% | 0.6 | 3.6 | 4.2 | 0.2 | 2.2 | 1.7 | 1.4 | 2.8 | 12 | |
2007-2008 | Nantes | France - Pro B Play-Offs | 3 | 31.3 | 11.7 | 45.9% | 57.1% | 31.8% | 75% | 0.3 | 4.3 | 4.6 | 0 | 2.3 | 1.7 | 3 | 2.3 | 10.7 | |
2007-2008 | Nantes | France - Pro B | 33 | 29.1 | 8.8 | 44.9% | 53.2% | 32.1% | 76.2% | 0.5 | 4.8 | 5.3 | 0.3 | 2.5 | 1.5 | 1.6 | 2.7 | 11.8 | |
2006-2007 | Cholet | Pro A | 21 | 12.5 | 2.9 | 37.1% | 50% | 29.6% | 70% | 0 | 1.3 | 1.3 | 0.1 | 0.9 | 0.4 | 0.7 | 1.6 | 2.8 | |
2005-2006 | Cholet | Pro A | 14 | 21.6 | 8.2 | 48.1% | 51.2% | 38.2% | 83.3% | 0.5 | 1.9 | 2.4 | 0.1 | 1.8 | 0.9 | 1.1 | 1.9 | 8.2 | |
2004-2005 | Cholet | Pro A - Play-Offs | 2 | 18.5 | 11 | 64.3% | 50% | 60% | 100% | 0 | 3 | 3 | 0 | 1.5 | 1 | 2 | 4 | 12 | |
2004-2005 | Cholet | Pro A | 34 | 19.2 | 5.9 | 44.3% | 44.1% | 37.1% | 75% | 0.5 | 2.1 | 2.6 | 0.1 | 1.3 | 0.9 | 1.1 | 2.1 | 6.4 | |
2004-2005 | Cholet | Eurocup | 12 | 21.9 | 7.3 | 41.3% | 34.8% | 42.6% | 66.7% | 0.4 | 1.9 | 2.3 | 0.1 | 1.5 | 1.3 | 0.9 | 2.1 | 7.6 | |
2003-2004 | Reims | Pro A | 34 | 30.6 | 12.1 | 46.2% | 51.9% | 38.1% | 65.3% | 0.5 | 3.1 | 3.6 | 0.2 | 2.6 | 1.2 | 1.3 | 2.2 | 12.3 | |
2002-2003 | Reims | France - Pro B | 28 | 31.8 | 14.4 | 47.1% | 51.4% | 38.5% | 71.1% | 0.4 | 3.4 | 3.8 | 0.1 | 2.9 | 1.6 | 1.6 | 2.3 | 14 | |
2001-2002 | Cholet | Pro A | 24 | 10.7 | 2.7 | 40% | 36.8% | 31.8% | 75% | 0.1 | 1 | 1.1 | 0 | 0.7 | 0.6 | 0.5 | 1.8 | 2.8 | |
2001-2002 | Cholet | Pro A - Play-Offs | 4 | 12.5 | 6 | 40% | 0% | 44.4% | 0% | 0.3 | 1 | 1.3 | 0 | 0.5 | 0.3 | 0 | 1.8 | 5 | |
2000-2001 | Cholet | Pro A | 12 | 4.5 | 2.1 | 48.3% | 37.5% | 33.3% | 77.8% | 0.1 | 0.5 | 0.6 | 0.1 | 0 | 0.2 | 0.2 | 0.3 | 1.5 | |
1999-2000 | Cholet | Pro A | 2 | 5.5 | 1 | 50% | 100% | 0% | 0% | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0.5 | 1.5 | |
1998-1999 | U18 France | U18 European Championship - Div A | 7 | 16.1 | 4.3 | 35% | 33.3% | 25% | 100% | 0.3 | 2.3 | 2.6 | 0 | 0.1 | 0.7 | 0.9 | 2 | 3.1 | |
1998-1999 | Cholet | Pro A | 2 | 4.5 | 2.5 | 60% | 66.7% | 0% | 50% | 1 | 0.5 | 1.5 | 0 | 0 | 0 | 0.5 | 0.5 | 2.5 |