3030Minutes
12.3312.33points marqués
3.833.83rebonds
3.723.72passes décisives
12.7212.72evaluation
Moyenne sur la saison
en Pro Aen savoir plus
11 avril 1955
Lubbock (USA)
Américaine
1m95
Montana (NCAA)
Records en pro avec cholet basket
222222points en carrière
- présentation
- carrière
- palmarès
- saisons à CB
- statistiques
- news
Une légende, un espoir déchu, un roman à lui tout seul, une vie qui aura inspiré un film ("Whatever Happened to Michael Ray", en 2000)... C'est tout cela, Micheal Ray Richardson. C'est un génie balle en main, 4e choix de la Draft NBA en 1978 (devant Larry Bird), pour qui tout paraît simple, même si c'est un leurre. Ses années de formation ne sont, comme ne le seront jamais celles qui suivront, pas un fleuve tranquille. Installé à Denver avec sa mère, à l'âge de six ans, après le divorce de ses parents, il n'intègre la Manual High School de Denver qu'en dernière année, avant de finalement taper dans l'œil de l'université de Montana. Un premier grand saut...
En NCAA, sa progression est impressionnante, au point d'affoler les compteurs lors de son année senior (24,2 points de moyenne), et d'attirer l'attention des New York Knicks lors de cette fameuse Draft 1978. Là débute sa relation façon "je t'aime, moi non plus", avec la plus grande ligue du Monde.
Là encore, ses débuts sont contrastés. Passeur génial, prince de l'interception, il met le nez à la fenêtre lors de la deuxième saison, non sans avoir tancé son coach, qui lui reproche ses écarts de conduite, en qualité de meneur de jeu. Voilà qui a le don de piquer au vif Micheal Ray... qui, malgré lui, devient peu à peu la cible numéro un des journalistes pour ses frasques en-dehors des parquets. Lui se sent victime de discrimination, notamment lorsqu'il constate la non-sanction de Chris Mullin, lui-même plongé, au propre comme au figuré, dans des histoires d'alcool.
Car la drogue est son talon d'Achille. Elle aura raison de la confiance des dirigeants des Knicks. Transféré à Golden State, où ses stats sont clairement sur la pente descente, il ne connaît pas le rebond espéré, et tutoie toujours abondamment la cocaïne. À nouveau transféré, cette fois aux Nets (où il retrouvera ses standards), le mal est fait : en 1986, il est banni à vie de la NBA pour avoir violé les règles anti-drogue, pourtant piétinées à grande échelle à l'époque. En un mot, Richardson est l'arbre qui cache une immense forêt. Mais réintégré en 1988, il est de nouveau pris entre les mailles du filet en 1991. Là est tout le résumé de la carrière de l'Américain, entre génie, décadence, et renaissance. Désormais affublé du sobriquet "Sugar", ne reste-t-il pas le premier joueur de l'Histoire à remporter à trois reprises le titre de meilleur intercepteur de NBA ? Seuls Iverson ou encore Jordan sauront en faire de même !
Persona non grata au pays de l'oncle Sam, il ouvre ainsi le chapitre européen. En Italie, d'abord, où il fait des ravages (deux coupes d'Italie, une Coupe des Coupes, 50 points inscrits lors du all-star game...). Quand il pose ses valises à Antibes, en 1995, il pèse alors quatre all-star game, ce qui ne l'empêche en rien de se sentir comme un poisson dans l'eau sur la Côte d'Azur, sous les ordres de Jacques Monclar, et aux côtés d'Ostrowski ou de David Rivers, avec lequel il formera un duo d'anthologie. En finale du championnat 1994-95, face à Pau, il signe un incroyable panier au buzzer (il était alors à 2/17 au tir), synonyme de sacre. Et presque de revanche pour Richardson lui-même.
Cholet, lui, n'est plus très loin. Une pige manquée à Rieti, en Italie, et c'est un retour express vers l'Hexagone. Non pas sur les plages bleutées du Sud, mais au sein d'un club en pleine bourre, devant néanmoins essuyer les frasques d'un autre showman : Skeeter Henry. L'accident de la route de ce dernier précipite l'arrivée dans les Mauges de "Sugar" la légende. À 42 ans... Et Cholet va aimer. En quarts de finale de playoffs contre Dijon, le génie décoche un nouveau buzzer beater, et CB filera cette année-là en demi-finale de Coupe Korac.
Sa carrière achevée, Richardson ne met pas le voile sur le basket, qui ne hélas résume à lui seul l'ensemble de son œuvre et de sa vie. Tenté par la casquette d'entraîneur, il crée à nouveau la polémique en 2006, quand, à la tête d'Oklahoma Cavalery, il est écarté pour des propos prétendument hostiles aux joueurs de confession juives. Accusation qu'il conteste, étant lui-même marié à une femme juive...
Plus tard, il drive la franchise de London Lightning, au Canada, où il fut élu à deux reprises coach de l'année (en 2012 et 2013). En juillet 2015, il se dit même intéressé par un retour en NBA. Histoire de boucler la boucle. Ou de tirer un trait définitif sur le passé. Houleux, mais légendaire.
En NCAA, sa progression est impressionnante, au point d'affoler les compteurs lors de son année senior (24,2 points de moyenne), et d'attirer l'attention des New York Knicks lors de cette fameuse Draft 1978. Là débute sa relation façon "je t'aime, moi non plus", avec la plus grande ligue du Monde.
Là encore, ses débuts sont contrastés. Passeur génial, prince de l'interception, il met le nez à la fenêtre lors de la deuxième saison, non sans avoir tancé son coach, qui lui reproche ses écarts de conduite, en qualité de meneur de jeu. Voilà qui a le don de piquer au vif Micheal Ray... qui, malgré lui, devient peu à peu la cible numéro un des journalistes pour ses frasques en-dehors des parquets. Lui se sent victime de discrimination, notamment lorsqu'il constate la non-sanction de Chris Mullin, lui-même plongé, au propre comme au figuré, dans des histoires d'alcool.
Car la drogue est son talon d'Achille. Elle aura raison de la confiance des dirigeants des Knicks. Transféré à Golden State, où ses stats sont clairement sur la pente descente, il ne connaît pas le rebond espéré, et tutoie toujours abondamment la cocaïne. À nouveau transféré, cette fois aux Nets (où il retrouvera ses standards), le mal est fait : en 1986, il est banni à vie de la NBA pour avoir violé les règles anti-drogue, pourtant piétinées à grande échelle à l'époque. En un mot, Richardson est l'arbre qui cache une immense forêt. Mais réintégré en 1988, il est de nouveau pris entre les mailles du filet en 1991. Là est tout le résumé de la carrière de l'Américain, entre génie, décadence, et renaissance. Désormais affublé du sobriquet "Sugar", ne reste-t-il pas le premier joueur de l'Histoire à remporter à trois reprises le titre de meilleur intercepteur de NBA ? Seuls Iverson ou encore Jordan sauront en faire de même !
Persona non grata au pays de l'oncle Sam, il ouvre ainsi le chapitre européen. En Italie, d'abord, où il fait des ravages (deux coupes d'Italie, une Coupe des Coupes, 50 points inscrits lors du all-star game...). Quand il pose ses valises à Antibes, en 1995, il pèse alors quatre all-star game, ce qui ne l'empêche en rien de se sentir comme un poisson dans l'eau sur la Côte d'Azur, sous les ordres de Jacques Monclar, et aux côtés d'Ostrowski ou de David Rivers, avec lequel il formera un duo d'anthologie. En finale du championnat 1994-95, face à Pau, il signe un incroyable panier au buzzer (il était alors à 2/17 au tir), synonyme de sacre. Et presque de revanche pour Richardson lui-même.
Cholet, lui, n'est plus très loin. Une pige manquée à Rieti, en Italie, et c'est un retour express vers l'Hexagone. Non pas sur les plages bleutées du Sud, mais au sein d'un club en pleine bourre, devant néanmoins essuyer les frasques d'un autre showman : Skeeter Henry. L'accident de la route de ce dernier précipite l'arrivée dans les Mauges de "Sugar" la légende. À 42 ans... Et Cholet va aimer. En quarts de finale de playoffs contre Dijon, le génie décoche un nouveau buzzer beater, et CB filera cette année-là en demi-finale de Coupe Korac.
Sa carrière achevée, Richardson ne met pas le voile sur le basket, qui ne hélas résume à lui seul l'ensemble de son œuvre et de sa vie. Tenté par la casquette d'entraîneur, il crée à nouveau la polémique en 2006, quand, à la tête d'Oklahoma Cavalery, il est écarté pour des propos prétendument hostiles aux joueurs de confession juives. Accusation qu'il conteste, étant lui-même marié à une femme juive...
Plus tard, il drive la franchise de London Lightning, au Canada, où il fut élu à deux reprises coach de l'année (en 2012 et 2013). En juillet 2015, il se dit même intéressé par un retour en NBA. Histoire de boucler la boucle. Ou de tirer un trait définitif sur le passé. Houleux, mais légendaire.
Entraîneur :
- 2011/14 : London Lightning (Canada-NBL)
- Été 2011 : Thaïland Slammers (Thaïland-Division 1)
- 2008/11 : Lawton Fort Sill Cavalry (CBA)
- 2006/08 : Oklahoma Cavalry (CBA)
- 2004/06 : Albany Patrons (CBA)
Joueur :
- 2001/02 : AC Golfe-Juan-Vallauris (NM1)
- 2000/01 : Antibes (Pro A)
- 1999/00 : Basket Livorno (Italie-SerieA)
- 1998/99 : Libertas Forli (Italie-SerieA)
- 1997/98 : Battipaglia Rieti (Italie-SerieA) puis Cholet Basket (Pro A)
- 1994/97 : Antibes (Pro A)
- 1992/94 : Basket Livorno (Italie-SerieA)
- 1991/92 : KK Split (Croatie-A1)
- 1988/91 : Virtus Bologna (Italie-SerieA)
- 1987/88 : Albany Patroons (CBA)
- 1986/87 : Long Island Knights (CBA)
- 1982/86 : Golden State Warriors (NBA) puis New Jersey Nets (NBA)
- 1978/82 : New York Knicks (NBA)
- 1977/78 : Montana (NCAA)
- 2011/14 : London Lightning (Canada-NBL)
- Été 2011 : Thaïland Slammers (Thaïland-Division 1)
- 2008/11 : Lawton Fort Sill Cavalry (CBA)
- 2006/08 : Oklahoma Cavalry (CBA)
- 2004/06 : Albany Patrons (CBA)
Joueur :
- 2001/02 : AC Golfe-Juan-Vallauris (NM1)
- 2000/01 : Antibes (Pro A)
- 1999/00 : Basket Livorno (Italie-SerieA)
- 1998/99 : Libertas Forli (Italie-SerieA)
- 1997/98 : Battipaglia Rieti (Italie-SerieA) puis Cholet Basket (Pro A)
- 1994/97 : Antibes (Pro A)
- 1992/94 : Basket Livorno (Italie-SerieA)
- 1991/92 : KK Split (Croatie-A1)
- 1988/91 : Virtus Bologna (Italie-SerieA)
- 1987/88 : Albany Patroons (CBA)
- 1986/87 : Long Island Knights (CBA)
- 1982/86 : Golden State Warriors (NBA) puis New Jersey Nets (NBA)
- 1978/82 : New York Knicks (NBA)
- 1977/78 : Montana (NCAA)
Entraîneur :
- 2012/13 : Champion du Canada
- 2012/13 : Elu Entraîneur de l'Année au Canada
- 2012/13 : Premier de la Saison Régulière du Canada
- 2012/13 : Participation au All Star Game du Canada
- 2011/12 : Champion du Canada
- 2011/12 : Premier de la Saison Régulière du Canada
- 2011/12 : Elu Entraîneur de l'Année au Canada
- 2010/11 : Finaliste PBL
- 2010/11 : Premier de la Saison Régulière de PBL
- 2009/10 : Champion PBL
- 2009/10 : Elu Entraîneur de l'Année en PBL
- 2009/10 : Premier de la Saison Régulière de PBL
- 2009/10 : Participation au All Star Game PBL
- 2008/09 : Champion CBA
- 2008/09 : Premier de la Saison Régulière de CBA
- 2007/08 : Champion CBA
- 2007/08 : Premier de la Saison Régulière de la Conférence Nationale de CBA
Joueur :
- 1997/98 : Vainqueur de la Coupe de France
- 1994/95 : Champion de France ProA
- 1989/90 : Vainqueur de la Coupe des Coupes
- 1989/90 : Vainqueur de la Coupe d'Italie
- 1988/89 : Vainqueur de la Coupe d'Italie
- 1987/88 : Champion CBA
- 1985/86 : Meilleur Intercepteur NBA
- 1984/85 : Participation au All Star Game NBA
- 1982/83 : Meilleur Intercepteur NBA
- 1981/82 : Participation au All Star Game NBA
- 1980/81 : Elu dans la Première Equipe Défensive de NBA
- 1980/81 : Participation au All Star Game NBA
- 1979/80 : Elu dans la Première Equipe Défensive de NBA
- 1979/80 : Meilleur Intercepteur NBA
- 1979/80 : Meilleur Passeur NBA
- 1979/80 : Participation au All Star Game NBA
- 1978 : Drafté au Premier Tour en 4ème Position par les New York Knicks (NBA)
- 2012/13 : Champion du Canada
- 2012/13 : Elu Entraîneur de l'Année au Canada
- 2012/13 : Premier de la Saison Régulière du Canada
- 2012/13 : Participation au All Star Game du Canada
- 2011/12 : Champion du Canada
- 2011/12 : Premier de la Saison Régulière du Canada
- 2011/12 : Elu Entraîneur de l'Année au Canada
- 2010/11 : Finaliste PBL
- 2010/11 : Premier de la Saison Régulière de PBL
- 2009/10 : Champion PBL
- 2009/10 : Elu Entraîneur de l'Année en PBL
- 2009/10 : Premier de la Saison Régulière de PBL
- 2009/10 : Participation au All Star Game PBL
- 2008/09 : Champion CBA
- 2008/09 : Premier de la Saison Régulière de CBA
- 2007/08 : Champion CBA
- 2007/08 : Premier de la Saison Régulière de la Conférence Nationale de CBA
Joueur :
- 1997/98 : Vainqueur de la Coupe de France
- 1994/95 : Champion de France ProA
- 1989/90 : Vainqueur de la Coupe des Coupes
- 1989/90 : Vainqueur de la Coupe d'Italie
- 1988/89 : Vainqueur de la Coupe d'Italie
- 1987/88 : Champion CBA
- 1985/86 : Meilleur Intercepteur NBA
- 1984/85 : Participation au All Star Game NBA
- 1982/83 : Meilleur Intercepteur NBA
- 1981/82 : Participation au All Star Game NBA
- 1980/81 : Elu dans la Première Equipe Défensive de NBA
- 1980/81 : Participation au All Star Game NBA
- 1979/80 : Elu dans la Première Equipe Défensive de NBA
- 1979/80 : Meilleur Intercepteur NBA
- 1979/80 : Meilleur Passeur NBA
- 1979/80 : Participation au All Star Game NBA
- 1978 : Drafté au Premier Tour en 4ème Position par les New York Knicks (NBA)
SAISON
Afficher plus..saison Saison | club Nom du club | compétition Nom de la compétition | matches Nombre de matches | min Temps de jeu | pts Nombre de points | %tirs Pourcentage aux tirs | %2pts Pourcentage aux tirs à deux points | %3pts Pourcentage aux tirs à trois points | %lf POURCENTAGE aux LANCERS-FRANCS | ro NOMBRE DE REBONDS OFFENSIFS | rd NOMBRE DE REBONDS DÉFENSIFS | rt NOMBRE TOTAL DE REBONDS | ct Nombre de contres | pd Nombre de passes décisives | int Nombre d'interceptions | bp Nombre de balles perdues | fte NOMBRE DE FAUTES INDIVIDUELLES | eval évaluation | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2000-2001 | Antibes | Pro A | 5 | 26.6 | 10 | 46.3% | 53.8% | 42.9% | 0% | 1.6 | 4.6 | 6.2 | 0.2 | 2.4 | 1.2 | 0.2 | 3.4 | 15.4 | |
1997-1998 | Cholet | Pro A | 18 | 30.4 | 12.3 | 47.9% | 57.3% | 34% | 78.9% | 0.9 | 2.9 | 3.8 | 0.1 | 3.7 | 1.3 | 2.4 | 2.3 | 12.7 | |
1996-1997 | Antibes | Pro A | 22 | 34.2 | 16.1 | 49% | 51.7% | 37% | 74.1% | 1.5 | 4.8 | 6.3 | 0.1 | 2.5 | 1.5 | 2.1 | 0 | 16.3 | |
1994-1995 | Antibes | Pro A | 22 | 35.1 | 15.7 | 52.3% | 52.3% | 41% | 77.1% | 1.8 | 3.1 | 4.9 | 0.1 | 3.7 | 2.4 | 2.1 | 0 | 17.6 | |
1993-1994 | Livorno | Italy - LBA Serie A | 28 | 37.9 | 22.3 | 49.8% | 46.4% | 41% | 72.6% | 2.4 | 5.9 | 8.3 | 0 | 1.6 | 2.3 | 3.3 | 3.4 | 19.9 | |
1993-1994 | Libertas Livorno | Italy - LBA Serie A | 28 | 37.9 | 22.3 | 49.8% | 46.4% | 41% | 72.6% | 2.4 | 5.9 | 8.3 | 0 | 1.6 | 2.3 | 3.3 | 3.4 | 19.9 | |
1992-1993 | Libertas Livorno | Italy - LBA Serie A | 30 | 36.6 | 20.5 | 54.8% | 58.6% | 30% | 70.6% | 2.3 | 4.8 | 7.1 | 0 | 2.5 | 2.8 | 2.8 | 3.3 | 20.8 | |
1992-1993 | Livorno | Italy - LBA Serie A | 30 | 36.6 | 20.5 | 54.8% | 58.6% | 30% | 70.6% | 2.3 | 4.8 | 7.1 | 0 | 2.5 | 2.8 | 2.8 | 3.3 | 20.8 | |
1992-1993 | Libertas Livorno | Italy - LBA Serie A Play-Offs | 2 | 36 | 25.5 | 60.9% | 63.3% | 33.3% | 70% | 2 | 4.5 | 6.5 | 0 | 2 | 3.5 | 4 | 2.5 | 24.5 | |
1992-1993 | Livorno | Italy - LBA Serie A Play-Offs | 2 | 36 | 25.5 | 60.9% | 63.3% | 33.3% | 70% | 2 | 4.5 | 6.5 | 0 | 2 | 3.5 | 4 | 2.5 | 24.5 | |
1990-1991 | Obiettivo Lavoro Bologna | Italy - LBA Serie A Play-Offs | 6 | 35.7 | 20.8 | 45.4% | 40.7% | 50% | 46.9% | 2.3 | 4.2 | 6.5 | 0.2 | 2.8 | 3 | 2.2 | 2.7 | 19.3 | |
1990-1991 | Obiettivo Lavoro Bologna | Italy - LBA Serie A | 19 | 34.6 | 21.2 | 55.2% | 55.2% | 33% | 75.5% | 3.3 | 5.1 | 8.4 | 0.2 | 2.9 | 3 | 3.2 | 3.4 | 22.8 | |
1989-1990 | Obiettivo Lavoro Bologna | Italy - LBA Serie A Play-Offs | 5 | 35.8 | 30.6 | 55.1% | 66.2% | 41.5% | 50% | 3.6 | 4.8 | 8.4 | 0.6 | 3 | 2.8 | 2.8 | 3.8 | 30.2 | |
1989-1990 | Obiettivo Lavoro Bologna | Italy - LBA Serie A | 30 | 36.5 | 23.6 | 51.8% | 52.1% | 41.7% | 64.2% | 3 | 5.1 | 8.1 | 0 | 2.1 | 3.1 | 2.7 | 3.5 | 23 | |
1988-1989 | Obiettivo Lavoro Bologna | Italy - LBA Serie A Play-Offs | 6 | 37.7 | 23 | 48.3% | 48.6% | 31.3% | 77.8% | 4.5 | 5.2 | 9.7 | 0 | 3.8 | 3.3 | 2.2 | 3.2 | 24.8 | |
1988-1989 | Obiettivo Lavoro Bologna | Italy - LBA Serie A | 28 | 38.5 | 23.5 | 48.8% | 48.7% | 36.4% | 69.8% | 2.4 | 5 | 7.4 | 0.2 | 2.8 | 3.5 | 2.8 | 3.1 | 22.1 | |
1985-1986 | new jersey nets | NBA | 47 | 34.1 | 15.7 | 52% | 46.1% | 14.8% | 78.8% | 1.6 | 3.7 | 5.3 | 0.2 | 7.2 | 2.7 | 3.2 | 3.5 | 19.4 | |
1985-1986 | Brooklyn Nets | NBA | 47 | 34.1 | 15.7 | 52% | 46.1% | 14.8% | 78.8% | 1.6 | 3.7 | 5.3 | 0.2 | 7.2 | 2.7 | 3.2 | 3.5 | 19.4 | |
1984-1985 | new jersey nets | NBA | 82 | 38.1 | 20.1 | 52.2% | 48.8% | 25.2% | 76.7% | 1.9 | 3.7 | 5.6 | 0.3 | 8.2 | 3 | 3 | 3.4 | 23.6 | |
1984-1985 | Brooklyn Nets | NBA | 82 | 38.1 | 20.1 | 52.2% | 48.8% | 25.2% | 76.7% | 1.9 | 3.7 | 5.6 | 0.3 | 8.2 | 3 | 3 | 3.4 | 23.6 | |
1983-1984 | new jersey nets | NBA | 48 | 26.8 | 12 | 50.2% | 48.7% | 24.1% | 70.4% | 1.2 | 2.4 | 3.6 | 0.4 | 4.5 | 2.1 | 2.5 | 3.3 | 13.5 | |
1983-1984 | Brooklyn Nets | NBA | 48 | 26.8 | 12 | 50.2% | 48.7% | 24.1% | 70.4% | 1.2 | 2.4 | 3.6 | 0.4 | 4.5 | 2.1 | 2.5 | 3.3 | 13.5 | |
1982-1983 | Brooklyn Nets | NBA | 31 | 32.3 | 12.7 | 47.6% | 45% | 21.1% | 67.1% | 1.6 | 3.2 | 4.8 | 0.5 | 6 | 2.4 | 2.5 | 3.6 | 16.1 | |
1982-1983 | Golden State Warriors | NBA | 33 | 32.8 | 12.5 | 44.7% | 43.2% | 10.3% | 63.2% | 1.3 | 3.1 | 4.4 | 0.3 | 7.4 | 3.1 | 4.2 | 3.8 | 14.8 | |
1982-1983 | New Jersey Nets | NBA | 64 | 32.4 | 12.6 | 46.2% | 44.2% | 15.7% | 65% | 1.8 | 2.8 | 4.6 | 0.4 | 6.8 | 2.8 | 3.8 | 3.8 | 15.1 | |
1981-1982 | New York Knicks | NBA | 82 | 35.5 | 17.9 | 51.4% | 48.6% | 16.4% | 70% | 0.4 | 6.2 | 6.6 | 0.2 | 6.7 | 1.3 | 1.6 | 3.4 | 21.6 | |
1980-1981 | New York Knicks | NBA | 79 | 31.3 | 16.4 | 61% | 61.6% | 23.3% | 66.5% | 0.5 | 4.6 | 5.1 | 0.2 | 6.1 | 1.5 | 2 | 2 | 21.4 | |
1979-1980 | New York Knicks | NBA | 82 | 28.2 | 15.3 | 62.6% | 64.5% | 23.9% | 66% | 0.6 | 4.3 | 4.9 | 0.1 | 7.6 | 1.8 | 2.4 | 2.2 | 22.3 | |
1978-1979 | New York Knicks | NBA | 72 | 11.6 | 6.5 | 58% | 59.6% | 0% | 53.9% | 0.5 | 1.7 | 2.2 | 0.1 | 1.9 | 0.8 | 1 | 1.7 | 0 |