2929Minutes
13.813.8points marqués
3.63.6rebonds
6.46.4passes décisives
17.417.4evaluation
Moyenne sur la saison
en Jeep Eliteen savoir plus
07 mai 1989
Spokane, Washington (USA)
Américaine
1m85
82kg
Université de Westminster (USA)
Records en pro avec cholet basket
- présentation
- carrière
- palmarès
- saisons à CB
- statistiques
- news
- 2018/2019 : Göttingen (Allemagne – Bundesliga). Collectivement, pas de miracle : Michael Stockton n’aura pas permis aux siens de disputer les playoffs. Mais la patte gauche du meneur à la filiation dorée, leader dans l’âme et dans les faits, va faire des merveilles. En janvier, il signe son record de passes (14, assortis de 26 points) lors d’un large succès face à Giessen. Dans la forme de sa vie, il dispute à nouveau le All-Star Game du championnat allemand. Quatrième meilleur passeur de la ligue sur la saison (avec 7 passes par match), il montre qu’il est apte à endosser des responsabilités individuelles dans le domaine offensif. Meilleur scoreur (16,1 points), passeur et intercepteur de sa formation, il met donc à profit ses plus belles années. Johan Roijakkers, son coach à Göttingen, dira de lui : « Il aura été le cerveau de l’équipe sur le parquet et ma main droite, sur et en dehors du terrain. »
- 2017/2018 : Göttingen (Allemagne – Bundesliga). Sans surprise, il retrouve, à la relance, un championnat qu’il connaît bien et qui lui a donné ses lettres de noblesse. De fait, de l’autre côté du Rhin, il retrouve de sa verve et va signer les deux meilleures saison de sa carrière. Il est vrai qu’à ses côtés, les atouts ne manquent pas, avec l’ex-Strasbourgeois Brion Rush (ex-2e meilleur marqueur de Pro A). Pourtant, collectivement, la mayonnaise ne prendra pas, et Stockton sera l’une des seules valeurs sûres d’un roster qui ne cessera de changer en cours de saison. Deuxième meilleur passeur du championnat (avec 6,1 passes), il signe 4 double-double en un mois (!), tout en ayant retrouvé une certaine confiance en son shoot. Bref, le voilà relancé (14,9 points à 54% à 2 points ; 3,3 rebonds en 30 minutes). En prime, il est sélectionné pour le All-Star Game.
- 2016/2017 : Avtodor Saratov (Russie – VTB League), puis Apollon Patras (Grèce – A1). Après une saison de transition, il retrouve l’Europe et une ligue majeure, où la concurrence est rude. Une fois encore, il fait équipe avec l’ex-Choletais Nick Minnerath, mais ne vas faire long feu en Russie. Pour cause : s’il goûte sporadiquement à la Champions League (4,4 points et 3,6 passes en 17’), où il croise d’ailleurs la route du Mans, il ne fait pas d’étincelle en championnat, au sein d’un effectif très pléthorique ; Il est coupé en janvier et découvre le championnat grec où, guerre plus à son aise (4,7 points ; 0,9 passe en 12’), il contribue bien malgré lui à la relégation de sa formation. Le retour en Allemagne lui sera très bénéfique.
- 2015/2016 : Canton Charge (D-League). De retour aux Etats-Unis, il est drafté par Grand Rapids Drive, mais file dans une franchise affiliée aux Cavaliers de Cleveland, au sein de laquelle il croise notamment l’ex-Choletais Nick Minnerath, et DJ Stephens. Dans une ligue taillée par la mise en valeur individuelle, il n’a pas toutes les clés en main pour faire valoir son altruisme, mais bénéficie néanmoins d’un temps de jeu conséquent. Par séquence, il régale à la passe (12 passes face aux Raptors 905) et dispute même les demi-finales de la ligue de développement. Sa ligne de stat sur la saison (8,5 points ; 4,8 passes en 22’) renseigne moins sur le fait que son avenir est fait pour un retour sur le Vieux Continent.
- 2014/2015 : Ludwigsburg (Allemagne – Bundesliga). Aux côtés de l’ex NBAer John Brockman, également passé par Chalon-sur-Saône, il n’a pas le rendement qui était le sien la saison précédente. En perte de vitesse au tir, un secteur où il est déjà perfectible (seulement 27% à 3 points), il perd également de sa superbe dans la création. Son baroud d’honneur lors de la dernière journée (26 points avec un joli 10/12 aux lancers) ne change rien au caractère inachevé de sa saison, qui demeure néanmoins correcte (8,9 points ; 2,7 passes en 25’), d’autant qu’il est de plus en plus missionné sur des tâches défensives.
- 2013/2014 : Ludwigsburg (Allemagne – Bundesliga). Après deux saisons de formatage à l’étage inférieur, Stockton gagne ses galons pour la Bundesliga. Il partage la base arrière le futur Palois C.J Harris, et signe une saison très encourageante pour ses débuts à ce niveau. Leader par l’exemple, il est de suite dans le bain et dépasse pour la première fois en carrière la barre des 10 passes, lors d’une défaite face à Ulm. C’est logiquement qu’il conduit sa formation en playoffs (avec une 4e place en saison régulière), où il se montre là aussi solide. Hélas, Ludwigsburg est balayé par le Bayern Munich. Stockton n’en a pas moins réussi des débuts dans l’élite (11,5 points à 49% en 30 minutes ; 3,5 rebonds ; 3,5 passes).
- 2012/2013 : BG Karlsruhe (Allemagne – Pro A). Après avoir rempilé, il densifie sa palette et prend du muscle offensivement (13,8 points en presque 30 minutes). Il permet aux siens de se hisser jusqu’en playoffs, où il fait feu de tout bois et fait plier Cuxhaven à lui tout seule en quart de finale (31 points à 11/15 lors du match 1 – son record de carrière), puis 29 points à 10/15 lors du match 3). Devenu l’atout offensif n°1 de sa formation, il acquiert une régularité qui lui faisait défaut. Un exercice réussi, y compris au regard de sa progression au tir (presque 39% sur la saison). L’été venu, il prend part à la Summer League d’Orlando sous les couleurs du Jazz (4,3 points en 3 matches). Sa saison attire les regards, notamment français, et en particulier ceux… de Cholet Basket, qui tente de le faire venir sur les bords de Moine. En vain, du moins pour l’instant.
- 2011/2012 : BG Karlsruhe (Allemagne – Pro A). C’est dans l’antichambre de la Bundesliga que Michael Stockton débute sa carrière professionnelle, au sein d’une formation qui plus est trop modeste. Meneur titulaire, l’Américain signe une saison marquée par des hauts et des bas. Mais il aiguise son sens de la passe, évidemment inné (3,6 assists par match), tout en demeurant un meneur gestionnaire à défaut d’être shooteur (10, 9 points à seulement 28% derrière l’arc). Karlsruhe terminera 9e de Pro A.
Formation : Malgré sa filiation, Michael Stockton a du redoublé d’effort pour devenir joueur professionnel. Également tenté par le baseball et le football américain lors de ses années de Prep School à Gonzaga. L’université de Westminter (basée à Salt Lake City, fief du Jazz) qu’il intègre n’est pas intégrée au circuit NCAA, mais à celui de NAIA, moins renommée et surtout, bien moins médiatisée. C’est le coach adjoint du Jazz, avec lequel Michael est en contact, qui lui conseille d’entrer à Westminter. Pour sa première saison, le « fils de » doit se contenter de 7 petites minutes de temps de jeu. Rien de plus ! En 2009-2010, deux ans après son arrivée, il se fond dans un rôle de 6e homme et fait décoller ses stats (8,5 points à 51% au tir), avant d’intégrer le cinq majeur lors de son année senior, tout simplement épatante (18,2 points ; 4 rebonds ; 4 passes). Ainsi, en 2011, Michael a les honneurs des camps d’entraînement du Jazz. Un honneur autant qu’un clin d’œil au passé paternel.
Biographie : Quel amoureux de basket n’a jamais entendu parler de John Stockton, neuf fois meilleur passeur de la NBA au sein des mythiques années du Jazz, où ce génial distributeur, qui a intégré le Hall of Hame de la sainte ligue, formait une doublette de légende avec Karl Malone. Michael Stockton, on l’aura compris, est donc le fils d’une légende, au même titre que son frère David (ex-Cedevita Zagreb, Sacramento King et… Utah Jazz). Il n’était pas rare de voir le jeune Michael trainer dans les vestiaires du Jazz, avant ou après les matches. L’arrière-grand-père de Michael (et donc le grand-père de John) fut également un joueur de football reconnu, dans les années 1920, aux Etats-Unis. Michael Stockton est diplômé en business management.
- 2017/2018 : Göttingen (Allemagne – Bundesliga). Sans surprise, il retrouve, à la relance, un championnat qu’il connaît bien et qui lui a donné ses lettres de noblesse. De fait, de l’autre côté du Rhin, il retrouve de sa verve et va signer les deux meilleures saison de sa carrière. Il est vrai qu’à ses côtés, les atouts ne manquent pas, avec l’ex-Strasbourgeois Brion Rush (ex-2e meilleur marqueur de Pro A). Pourtant, collectivement, la mayonnaise ne prendra pas, et Stockton sera l’une des seules valeurs sûres d’un roster qui ne cessera de changer en cours de saison. Deuxième meilleur passeur du championnat (avec 6,1 passes), il signe 4 double-double en un mois (!), tout en ayant retrouvé une certaine confiance en son shoot. Bref, le voilà relancé (14,9 points à 54% à 2 points ; 3,3 rebonds en 30 minutes). En prime, il est sélectionné pour le All-Star Game.
- 2016/2017 : Avtodor Saratov (Russie – VTB League), puis Apollon Patras (Grèce – A1). Après une saison de transition, il retrouve l’Europe et une ligue majeure, où la concurrence est rude. Une fois encore, il fait équipe avec l’ex-Choletais Nick Minnerath, mais ne vas faire long feu en Russie. Pour cause : s’il goûte sporadiquement à la Champions League (4,4 points et 3,6 passes en 17’), où il croise d’ailleurs la route du Mans, il ne fait pas d’étincelle en championnat, au sein d’un effectif très pléthorique ; Il est coupé en janvier et découvre le championnat grec où, guerre plus à son aise (4,7 points ; 0,9 passe en 12’), il contribue bien malgré lui à la relégation de sa formation. Le retour en Allemagne lui sera très bénéfique.
- 2015/2016 : Canton Charge (D-League). De retour aux Etats-Unis, il est drafté par Grand Rapids Drive, mais file dans une franchise affiliée aux Cavaliers de Cleveland, au sein de laquelle il croise notamment l’ex-Choletais Nick Minnerath, et DJ Stephens. Dans une ligue taillée par la mise en valeur individuelle, il n’a pas toutes les clés en main pour faire valoir son altruisme, mais bénéficie néanmoins d’un temps de jeu conséquent. Par séquence, il régale à la passe (12 passes face aux Raptors 905) et dispute même les demi-finales de la ligue de développement. Sa ligne de stat sur la saison (8,5 points ; 4,8 passes en 22’) renseigne moins sur le fait que son avenir est fait pour un retour sur le Vieux Continent.
- 2014/2015 : Ludwigsburg (Allemagne – Bundesliga). Aux côtés de l’ex NBAer John Brockman, également passé par Chalon-sur-Saône, il n’a pas le rendement qui était le sien la saison précédente. En perte de vitesse au tir, un secteur où il est déjà perfectible (seulement 27% à 3 points), il perd également de sa superbe dans la création. Son baroud d’honneur lors de la dernière journée (26 points avec un joli 10/12 aux lancers) ne change rien au caractère inachevé de sa saison, qui demeure néanmoins correcte (8,9 points ; 2,7 passes en 25’), d’autant qu’il est de plus en plus missionné sur des tâches défensives.
- 2013/2014 : Ludwigsburg (Allemagne – Bundesliga). Après deux saisons de formatage à l’étage inférieur, Stockton gagne ses galons pour la Bundesliga. Il partage la base arrière le futur Palois C.J Harris, et signe une saison très encourageante pour ses débuts à ce niveau. Leader par l’exemple, il est de suite dans le bain et dépasse pour la première fois en carrière la barre des 10 passes, lors d’une défaite face à Ulm. C’est logiquement qu’il conduit sa formation en playoffs (avec une 4e place en saison régulière), où il se montre là aussi solide. Hélas, Ludwigsburg est balayé par le Bayern Munich. Stockton n’en a pas moins réussi des débuts dans l’élite (11,5 points à 49% en 30 minutes ; 3,5 rebonds ; 3,5 passes).
- 2012/2013 : BG Karlsruhe (Allemagne – Pro A). Après avoir rempilé, il densifie sa palette et prend du muscle offensivement (13,8 points en presque 30 minutes). Il permet aux siens de se hisser jusqu’en playoffs, où il fait feu de tout bois et fait plier Cuxhaven à lui tout seule en quart de finale (31 points à 11/15 lors du match 1 – son record de carrière), puis 29 points à 10/15 lors du match 3). Devenu l’atout offensif n°1 de sa formation, il acquiert une régularité qui lui faisait défaut. Un exercice réussi, y compris au regard de sa progression au tir (presque 39% sur la saison). L’été venu, il prend part à la Summer League d’Orlando sous les couleurs du Jazz (4,3 points en 3 matches). Sa saison attire les regards, notamment français, et en particulier ceux… de Cholet Basket, qui tente de le faire venir sur les bords de Moine. En vain, du moins pour l’instant.
- 2011/2012 : BG Karlsruhe (Allemagne – Pro A). C’est dans l’antichambre de la Bundesliga que Michael Stockton débute sa carrière professionnelle, au sein d’une formation qui plus est trop modeste. Meneur titulaire, l’Américain signe une saison marquée par des hauts et des bas. Mais il aiguise son sens de la passe, évidemment inné (3,6 assists par match), tout en demeurant un meneur gestionnaire à défaut d’être shooteur (10, 9 points à seulement 28% derrière l’arc). Karlsruhe terminera 9e de Pro A.
Formation : Malgré sa filiation, Michael Stockton a du redoublé d’effort pour devenir joueur professionnel. Également tenté par le baseball et le football américain lors de ses années de Prep School à Gonzaga. L’université de Westminter (basée à Salt Lake City, fief du Jazz) qu’il intègre n’est pas intégrée au circuit NCAA, mais à celui de NAIA, moins renommée et surtout, bien moins médiatisée. C’est le coach adjoint du Jazz, avec lequel Michael est en contact, qui lui conseille d’entrer à Westminter. Pour sa première saison, le « fils de » doit se contenter de 7 petites minutes de temps de jeu. Rien de plus ! En 2009-2010, deux ans après son arrivée, il se fond dans un rôle de 6e homme et fait décoller ses stats (8,5 points à 51% au tir), avant d’intégrer le cinq majeur lors de son année senior, tout simplement épatante (18,2 points ; 4 rebonds ; 4 passes). Ainsi, en 2011, Michael a les honneurs des camps d’entraînement du Jazz. Un honneur autant qu’un clin d’œil au passé paternel.
Biographie : Quel amoureux de basket n’a jamais entendu parler de John Stockton, neuf fois meilleur passeur de la NBA au sein des mythiques années du Jazz, où ce génial distributeur, qui a intégré le Hall of Hame de la sainte ligue, formait une doublette de légende avec Karl Malone. Michael Stockton, on l’aura compris, est donc le fils d’une légende, au même titre que son frère David (ex-Cedevita Zagreb, Sacramento King et… Utah Jazz). Il n’était pas rare de voir le jeune Michael trainer dans les vestiaires du Jazz, avant ou après les matches. L’arrière-grand-père de Michael (et donc le grand-père de John) fut également un joueur de football reconnu, dans les années 1920, aux Etats-Unis. Michael Stockton est diplômé en business management.
- 2022/23 : Pau-Lacq-Orthez (Betclic ELITE)
- 2021/22 : Budivelnyk Kyiv (Ukraine, Superleague)
- 2019/21 : Cholet Basket (Jeep®ÉLITE)
- 2017/19 : BG Goettingen (Allemagne)
- 2016/17 : Avtodor Saratov (Russie) puis AS Apollon Patras (Grèce)
- Juillet 2016 : NBA Summer League avec les Cleveland Cavaliers
- 2015/16 : Canton Charge (G-League)
- Juillet 2014 : NBA Summer League avec Oklahoma City Thunder
- 2013/15 : Ludwisburg (Allemagne)
- Juillet 2013 : NBA Summer League avec les Utah Jazz
- 2011/13 : BG Karlsruhe (Allemagne)
- 2007/11 : Westminster (NAIA)
- 2021/22 : Budivelnyk Kyiv (Ukraine, Superleague)
- 2019/21 : Cholet Basket (Jeep®ÉLITE)
- 2017/19 : BG Goettingen (Allemagne)
- 2016/17 : Avtodor Saratov (Russie) puis AS Apollon Patras (Grèce)
- Juillet 2016 : NBA Summer League avec les Cleveland Cavaliers
- 2015/16 : Canton Charge (G-League)
- Juillet 2014 : NBA Summer League avec Oklahoma City Thunder
- 2013/15 : Ludwisburg (Allemagne)
- Juillet 2013 : NBA Summer League avec les Utah Jazz
- 2011/13 : BG Karlsruhe (Allemagne)
- 2007/11 : Westminster (NAIA)
- 2019/20 : Participation au concours des meneurs du All-Star Game de la LNB
- 2018/19 : Participation au All-Star Game du championnat allemand
- 2017/18 : Participation au All-Star Game du championnat allemand
- 2015/16 : Demi-finaliste de D-League
- 2012/13 : Demi-finaliste de Pro A (2e division allemande)
- 2018/19 : Participation au All-Star Game du championnat allemand
- 2017/18 : Participation au All-Star Game du championnat allemand
- 2015/16 : Demi-finaliste de D-League
- 2012/13 : Demi-finaliste de Pro A (2e division allemande)
SAISON
Afficher plus..saison Saison | club Nom du club | compétition Nom de la compétition | matches Nombre de matches | min Temps de jeu | pts Nombre de points | %tirs Pourcentage aux tirs | %2pts Pourcentage aux tirs à deux points | %3pts Pourcentage aux tirs à trois points | %lf POURCENTAGE aux LANCERS-FRANCS | ro NOMBRE DE REBONDS OFFENSIFS | rd NOMBRE DE REBONDS DÉFENSIFS | rt NOMBRE TOTAL DE REBONDS | ct Nombre de contres | pd Nombre de passes décisives | int Nombre d'interceptions | bp Nombre de balles perdues | fte NOMBRE DE FAUTES INDIVIDUELLES | eval évaluation | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2024-2025 | Chalon | France - Coupe de France | 1 | 24 | 4 | 33.3% | 66.7% | 0% | 0% | 0 | 3 | 3 | 0 | 3 | 1 | 3 | 0 | 4 | |
2024-2025 | Chalon | France - Betclic Elite | 5 | 26.8 | 8.4 | 65% | 46.2% | 45.5% | 93.8% | 0.4 | 2.6 | 3 | 0 | 4.6 | 2.2 | 2.8 | 2.8 | 12.6 | |
2023-2024 | Gravelines | France - Coupe de France | 1 | 24 | 7 | 35.7% | 33.3% | 0% | 75% | 0 | 3 | 3 | 0 | 5 | 2 | 4 | 0 | 4 | |
2023-2024 | Gravelines | France - Betclic Elite | 26 | 24.1 | 9.3 | 54.9% | 52.3% | 38.9% | 81.5% | 0.1 | 1.8 | 1.9 | 0 | 3.8 | 1.2 | 2.3 | 2.3 | 9.8 | |
2023-2024 | Gravelines | FIBA Europe Cup | 8 | 24.8 | 7.3 | 41.9% | 46.4% | 24.1% | 64.7% | 0.8 | 3.1 | 3.9 | 0 | 5.4 | 1.4 | 2 | 1.9 | 10.5 | |
2022-2023 | Pau-Lacq-Orthez | France - Coupe de France | 2 | 31 | 6.5 | 44.4% | 30% | 33.3% | 80% | 0 | 3.5 | 3.5 | 0 | 4 | 1 | 2 | 2 | 8 | |
2022-2023 | Pau-Lacq-Orthez | France - Betclic Elite | 34 | 29.9 | 10.8 | 56.1% | 55.5% | 34.6% | 78.8% | 0.5 | 3.3 | 3.8 | 0 | 6.6 | 1.5 | 2.8 | 2.7 | 15.2 | |
2022-2023 | Pau-Lacq-Orthez | Betclic Elite | 5 | 31.2 | 10.8 | 53.4% | 43.3% | 38.5% | 86.7% | 0.4 | 3.2 | 3.6 | 0 | 8.2 | 2.8 | 3 | 2.4 | 17 | |
2021-2022 | Champagne Basket | Betclic Elite | 12 | 28.8 | 11.8 | 56.6% | 58.8% | 35.5% | 83.3% | 0.4 | 2.4 | 2.8 | 0.1 | 6.6 | 1.5 | 2.8 | 2.8 | 15.4 | |
2021-2022 | Budivelnyk Kyiv | Ukraine - Superleague | 28 | 27.1 | 10.1 | 49.8% | 50% | 33.8% | 68.3% | 0.6 | 2.6 | 3.2 | 0.1 | 6.3 | 1.1 | 2 | 2.5 | 13.5 | |
2020-2021 | Cholet | Jeep® Elite | 9 | 32.9 | 15.4 | 61.1% | 60.3% | 59.3% | 65.2% | 0.7 | 2.6 | 3.3 | 0 | 6.9 | 2.2 | 2.4 | 3 | 20.4 | |
2020-2021 | Cholet | Basketball Champions League | 6 | 32.5 | 8.8 | 49.3% | 48.3% | 15% | 88.9% | 0.8 | 1.2 | 2 | 0 | 5.3 | 1.8 | 3.3 | 3.2 | 9 | |
2019-2020 | Cholet | Jeep® Elite | 25 | 29.7 | 12.2 | 52.2% | 48.1% | 35.7% | 81.5% | 0.4 | 2.6 | 3 | 0 | 6.8 | 1.2 | 1.8 | 3 | 15.4 | |
2018-2019 | BG Gottingen | Germany - easyCredit BB | 33 | 30 | 16.4 | 56.7% | 49.1% | 38.9% | 87.1% | 0.5 | 2.6 | 3.1 | 0.1 | 7 | 1.1 | 2.8 | 2.7 | 17.6 | |
2018-2019 | BG Gottingen | Germany - BBL | 33 | 30 | 16.4 | 56.7% | 49.1% | 38.9% | 87.1% | 0.5 | 2.6 | 3.1 | 0.1 | 7 | 1.1 | 2.8 | 2.7 | 17.6 | |
2017-2018 | BG Gottingen | Germany - easyCredit BB | 34 | 29.8 | 14.4 | 53.6% | 54.4% | 32.1% | 75.4% | 2.2 | 1 | 3.2 | 0.1 | 5.9 | 1.2 | 2.5 | 0 | 15.4 | |
2017-2018 | BG Gottingen | Germany - BBL | 34 | 29.8 | 14.4 | 53.6% | 54.4% | 32.1% | 75.4% | 2.2 | 1 | 3.2 | 0.1 | 5.9 | 1.2 | 2.5 | 0 | 15.4 | |
2016-2017 | Avtodor Saratov | VTB United League | 11 | 17.5 | 6.6 | 54.3% | 53.8% | 22.2% | 79.2% | 0.2 | 1.3 | 1.5 | 0 | 3.7 | 0.8 | 0.9 | 2.5 | 8.4 | |
2016-2017 | Apollon Patras | Greece - Heba A1 | 12 | 12 | 4.5 | 60.7% | 57.1% | 20% | 88.9% | 0.4 | 1.2 | 1.6 | 0 | 0.9 | 0.4 | 1.6 | 1.3 | 4 | |
2016-2017 | Avtodor Saratov | Basketball Champions League | 13 | 17.3 | 4.4 | 44.6% | 52.6% | 23.5% | 50% | 0.2 | 1.5 | 1.7 | 0 | 3.6 | 0.7 | 1.5 | 1.2 | 6.2 | |
2015-2016 | Canton Charge | G-League Play-Offs | 3 | 24 | 11.3 | 58.6% | 65% | 28.6% | 100% | 1 | 1.7 | 2.7 | 0.7 | 5.3 | 1.3 | 1 | 2 | 16.3 | |
2015-2016 | Canton Charge | G-League | 50 | 22.8 | 8.4 | 52.9% | 50.6% | 27.7% | 84% | 0.4 | 2.4 | 2.8 | 0 | 4.7 | 1 | 1.6 | 3.2 | 11 | |
2014-2015 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - BBL | 26 | 25 | 9 | 51.1% | 46.9% | 29% | 74.4% | 0.7 | 1.8 | 2.5 | 0.1 | 2.6 | 0.8 | 1.7 | 3.1 | 8.3 | |
2014-2015 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - BBL Play-Offs | 3 | 28 | 9 | 44.4% | 41.2% | 20% | 77.8% | 1.7 | 0.7 | 2.4 | 0 | 2.7 | 0.7 | 0.7 | 4 | 7.3 | |
2014-2015 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - easyCredit BB | 26 | 25 | 9 | 51.1% | 46.9% | 29% | 74.4% | 0.7 | 1.8 | 2.5 | 0.1 | 2.6 | 0.8 | 1.7 | 3.1 | 8.3 | |
2014-2015 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - easyCredit BB Play-Offs | 3 | 28 | 9 | 44.4% | 41.2% | 20% | 77.8% | 1.7 | 0.7 | 2.4 | 0 | 2.7 | 0.7 | 0.7 | 4 | 7.3 | |
2013-2014 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - easyCredit BB Play-Offs | 4 | 29.5 | 10.8 | 57.4% | 42.1% | 40% | 83.3% | 0.8 | 3.5 | 4.3 | 0 | 3.5 | 0.8 | 1 | 4 | 13.3 | |
2013-2014 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - easyCredit BB | 34 | 30.9 | 11.5 | 53.8% | 50% | 32.1% | 77.2% | 0.7 | 2.6 | 3.3 | 0.1 | 3.4 | 0.9 | 2 | 3.4 | 11.5 | |
2013-2014 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - BBL Play-Offs | 4 | 29.5 | 10.8 | 57.4% | 42.1% | 40% | 83.3% | 0.8 | 3.5 | 4.3 | 0 | 3.5 | 0.8 | 1 | 4 | 13.3 | |
2013-2014 | MHP Riesen Ludwigsburg | Germany - BBL | 34 | 30.9 | 11.5 | 53.8% | 50% | 32.1% | 77.2% | 0.7 | 2.6 | 3.3 | 0.1 | 3.4 | 0.9 | 2 | 3.4 | 11.5 | |
2012-2013 | Karlsruhe | Germany - Pro A Play-Offs | 9 | 37.4 | 19.9 | 62.3% | 65.9% | 30.6% | 82.9% | 1.4 | 2.8 | 4.2 | 0 | 2.7 | 2.1 | 2.2 | 3 | 19.9 | |
2012-2013 | Karlsruhe | Germany - Pro A | 30 | 28.5 | 12.2 | 56.3% | 55% | 42.1% | 68.9% | 0.9 | 2.9 | 3.8 | 0.1 | 3.7 | 1.4 | 1.7 | 2.4 | 14.2 | |
2011-2012 | Karlsruhe | Germany - Pro A | 27 | 27.7 | 10.9 | 57% | 52.4% | 28.8% | 81% | 0.5 | 2.3 | 2.8 | 0 | 3.6 | 1.2 | 2 | 2.9 | 11.5 |