3030Minutes
9.49.4points marqués
2.92.9rebonds
4.14.1passes décisives
1212evaluation
Moyenne sur la saison
en Pro Aen savoir plus
06 juillet 1981
Caracas (Vénézuela)
Vénézuelo-Américaine
1m94
Records en pro avec cholet basket
- présentation
- carrière
- palmarès
- saisons à CB
- statistiques
- news
2013-2014 : Cholet Basket. C'est sous les ordres d'un coach qu'il connaît bien (Jean-Manuel Sousa) et qui le promeut capitaine, qu'il décide de se relancer, une énième fois. Tout comme CB, il démarre fort (4 victoires en 4 matches), et fait même tourner la tête à Limoges, pas encore lancé, dès la 2e journée (21 points, 4 passes, 7 défautes provoquées). Puis vint la crise sur les bords de Moine, avec l'éviction de Jean-Manuel Sousa, au soir d'un revers cuisant devant l'Asvel (85-59). Une période de crise où il fait mieux que tenir la baraque. L'arrivée de Laurent Buffard coïncida avec une baisse de régime remarquée, même s'il retrouva des couleurs en fin de saison, et notamment devant Roanne (28 points, 4 rebonds, 8 passes, 7 fautes provoquées, 28 d'eval'). Entre temps, il ne parvient pas à emmener CB jusqu'au Last 16 d'Eurochallenge, au terme d'une campagne européenne contrastée pour le club, mais enrichissante pour l'international vénézuélien (9,4 points - 4,1 passes). Son dernier match avec le maillot choletais, au terme d'une saison compliquée (CB finit 13e) est un véritable récital personnel (36 points à 6/8 à trois points). Théâtre de son record de points en Pro A : Le Havre, bien sûr ! Courtisé par Monaco, il effectue son second retour en Normandie.
2012-2013 : Paris-Levallois. Christophe Denis fait appel à lui, dans un roster parisien faisant déjà la part belle aux meneurs de métier (Diot, Albicy). Hélas, il alterne une nouvelle fois le bon et le moins bon, se montrant bien plus à son aise en Eurocoupe, où Paris atteint les quarts (15 points, 6 passes et 5 rebonds devant les Hongrois Szolnok) qu'en championnat, où le PL connaît une gigantesque traversée du désert lors de la phase retour (seulement quatre victoires). Encore une fois, la Leaders Cup (élimination en demi-finale contre Strasbourg) se refuse à lui. Mais pas la Coupe de France, qu'il dompte à domicile, lors d'un "derby" contre Nanterre, à Bercy. Son meilleur souvenir en carrière... mais au terme d'une saison inaboutie, où il ne peut exploiter sa vision du jeu, pourtant en net progrès la saison passée.
2011-2012 : Le Havre. Très limité financièrement, "Saint-Tho" vit un début de saison compliqué (2 victoires après 10 journées), quand Cox, lui, maintient bien souvent le navire à flot. Pour la première fois de sa carrière, il prend également le manche à la mène, ce qui a pour conséquence de faire sensiblement grimper son ratio à la passe (4,3 passes), sans pour autant altérer son efficacité au tir, y compris derrière l'arc (41 %). En fin de saison, il se met en quatre pour permettre aux Havrais de ne pas sombrer et par trois fois, dépasse même le cap des 10 passes par match. Avec, à chaque fois, la victoire au bout. Et un vrai lien de cause à effet. Pari gagné, au terme d'une saison réussie (15,8 points - 4 rebonds - 4,3 passes). Dans le même temps, en fin de saison, il honore la sélection vénézuélienne, sans pouvoir la hisser jusqu'aux Jeux Olympiques de Londres.
2010-2011 : Le Havre. Frustré, il fait son come-back en Normandie. Drivé par Jean-Manuel Sousa, qui lui redonne toute sa confiance, il retrouve ses réflexes offensifs, dans un collectif au sein duquel il endosse le rôle de leader. Après un hiver collectivement très compliqué, il tue à lui seul Vichy (29 points à 3/5 à trois points, 4 rebonds, 6 passes, 5 fautes provoquées), dans un match capital pour le maintien, symbole d'une brillante fin de saison à titre individuel. La saison de la confiance retrouvée (14,1 points à 53,1 % à 2 points - 4,1 rebonds - 3,5 passes - 3,6 fautes provoquées). D'autant que Le Havre renouvelle son bail en Pro A (13e).
2009-2010 : Nancy. Relégué dans un rôle de faire-valoir, dans un secteur extérieur nancéien densifié, il est d'entrée cantonné à la rotation, alors que le Sluc se voit privé d'Euroligue en raison de la fin du système du ranking, décidé à la fin de la saison 2008-2009. Cox, lui, voit son temps de jeu sévèrement diminué, conséquence d'un rendement en baisse, il est vrai (5,3 points à 38 % - 1,3 rebond - 1,1 passe en seulement 15 minutes). Plus sollicité en Eurocoupe, il ne permet pas aux siens d'accéder au Last 16, même s'il est le grand artisan du succès des Lorrains devant Turow (16 points en 18 minutes).
2008-2009 : Nancy. Nouvelle étape pour Cox, qui rejoint le champion de France en titre en compagnie de Jean-Luc Monschau. Le duo est censé propulser le Sluc comme il se doit sur la scène européenne. C'est au gratin du basket européen que tout ce beau monde va se frotter (Panathinaïkos, FC Barcelone, Sienne,...). C'est devant Kaunas que le Sluc et Cox (6 points) décrochent la première victoire du club en Euroligue. Bien insuffisante, hélas, pour prétendre au top 16, alors que l'Américain peine à élever son niveau de jeu (6,4 points - 2,1 rebonds - 1 passe en 10 matches), malgré un joli baroud d'honneur devant Sopot (16 points et 4 rebonds). En Pro A, Cox et le Sluc confirment plus ou moins leur statut de favori. Repositionné en tant que vrai poste 2, l'Américain fonctionne cette fois par coups d'éclat (25 points, 3 passes en 28 minutes devant Rouen), perdant même sa place dans le cinq majeur après cinq journées. En net progrès dans son rendement à deux points (52,6 %), c'est finalement en playoffs qu'il sort de sa boîte, et notamment lors d'une victoire héroïque à Villeurbanne, lors de la 1ere manche de la demi-finale (19 points, 3 passes, 3 fautes provoquées en 24 minutes.). Insuffisant, hélas, pour s'ouvrir la route de Bercy. Bercy où il s'incline en finale de Coupe de France, qui aurait pu constituer son premier trophée en carrière. Hélas, le Mans passa par là.
2007-2008 : Le Havre. En quête de stabilité, il prolonge l'aventure normande. Bien lui en prend, puisqu'il s'apprête à signer sa meilleure saison en Pro A (18,8 points - 4,2 rebonds - 3,6 passes - 3,9 fautes provoquées). De quoi s'inviter, même discrètement, au All-Star game, mais surtout à Leaders Cup et aux playoffs. Certes, sans succès pour le STB. Pour Cox, c'est le temps des cartons : à Paris d'abord (32 points, 7 rebonds, 6 passes, 7 fautes provoquées, 33 d'eval' en 40 minutes) ; devant Le Mans, ensuite. Mais, émoussé en fin de saison, il ne parvient pas à sortir Le Havre du piège tendu par Roanne en quart de finale de playoffs.
2006-2007 : Le Havre. C'est sous les ordres de Christian Monschau et aux côtés d'une sacré collection d'anciens ou de futurs Choletais (Causeur, Duport, Stanley, Jomby), qu'il décide de poursuite l'aventure en Pro A, entamant ainsi une histoire d'amour avec la cité de la Manche. D'entrée, Cox et les siens font office de grosse surprise, puisque "Saint-Tho" se hisse en tête de la meute dès la 3e journée, et une victoire in extremis devant Nancy, où Cox détonne (21 points, 5 passes, 19 d'eval'). Véritable leader offensif du club normand, ce dernier signe un hiver remarquable et surtout très régulier (17,1 points - 3,5 rebonds - 3,8 passes entre la 9e et la 19e journée), hélas peu suivi d'effet à titre collectif. Il fait même mordre la poussière à CB, à la Meilleraie (19 points à 9/9 aux lancers), en dépit d'une légère propension à forcer (30,7 % à trois points). La fin de saison chaotique des siens ne lui permet pas de goûter aux playoffs.
2005-2006 : Chalon-sur-Saône. C'est en France, dans un pays où il retrouve un art de vivre "identique à San Francisco", selon ses propres dires, qu'il démarre sa carrière pro. Pour sa première saison, il bénéficie d'un temps de jeu conséquent. Dans l'Hexagone, sa capacité de percussion trouve en effet une forme d'expression. Si Chalon est en mode diesel (2 victoires et 6 défaites après huit matches), Cox est de suite dans l'allure (21 points ; 3/5 à trois points ; 4 passes devant Paris). Devenu un élément incontournable du cinq bourguignon, il se fend d'une magnifique entame de la phase retour et fait mordre la poussière au Mans au terme d'un match où il se montra héroïque (30 points en 32 minutes). Plus irrégulier en fin de saison régulière, achevée à la 10e place, il se montre à nouveau très précieux en playoffs. Hélas, l’Élan, après être venu au bout du Havre lors des quarts de finale, tombe sur un Nancy imprenable, en deux manches, lors des demies. Mais pour Cox, la découverte de la France se solde par une réussite totale (13,2 points - 3,5 rebonds - 11,4 d'eval').
2004-2005 : San Francisco (NCAA). Sa meilleure saison universitaire, et de loin. En très nette évolution dans l'apport offensif et dans l'adresse. Hélas, très inexpérimentée, sa jeune équipe, confrontée notamment au Gonzaga de Ronny Turiaf et de J.P Batista, n'est pas en mesure de lui trouver un bras droit dans le scoring. Meilleur marqueur de la conférence (20,0 points à 41 % à 2 points), il semble prêt pour tenter sa chance chez les pros. Et c'est en France qu'il lance l'aventure.
2003-2004 : San Francisco (NCAA). Encore une fois, il vit une saison tronquée par une blessure. Il ne dispute qu'un seul match.
2002-2003 : San Francisco (NCAA). Au sein d'un effectif plus étoffé (où l'on retrouve Darrell Tucker (futur-Hyères-Toulon), il endosse le costume de leader offensif. Suffisant pour signer une saison intéressante à titre collectif (3e de saison régulière en WCC ; demi-finaliste du tournoi de la conférence), mais encore davantage à titre individuel. C'est ainsi qu'il intègre la première équipe de la WCC. Propulsé dans le top 10 des meilleurs scoreurs de la conférence (avec 15,3 points), il montre encore un fort potentiel dans tous les secteurs du jeu.
2001-2002 : San Francisco (NCAA). Remis sur pied, c'est revanchard qu'il aborde une saison censée lui faire prendre une dimension. Dans les faits, il s'émancipe offensivement et profite d'une hausse de temps de jeu offerte par Philip Mathews, son coach.Très complet par un arrière (11,7 points - 4,8 rebonds - 2,5 passes), il convainc globalement.
2000-2001 : San Francisco (NCAA). Blessé au pied, il connaît une saison blanche, tout en remettant en route, à l'été 2001, lors d'une tournée en Espagne.
1999-2000 : San Francisco (NCAA). C'est aux côtés du regretté Kenyon Jones (ex-le Havre) qu'il débute sa carrière universitaire. Dans la très difficile West Coast Conference, il signe une entrée en matière modeste (4,9 points - 2 rebonds), dans un rôle de rotation qui sied bien au freshman qu'il est
Biographie : John Cox est le fils de John Arthur "Chubby" Cox, qui disputa une saison en NBA sous la bannière des Washington Bullets au début des années 1980 et dont John se sera beaucoup inspiré. Il est également le cousin d'un certain Kobe Bryant, de qui il s'inspire notamment dans le choix de son numéro de maillot (le 8, avant que Kobe ne prenne le 24). Adepte de la natation, son chanteur préféré est Jay-Z. C'est avec un plaisir non dissimulé qu'il accepte l'invitation des organisateurs Cholet Mondial Basket 2014, qui souhaitent faire de lui le parrain de l’événement. Une carrière d'instituteur lui aurait plu, en cas d'échec dans le basket.
2012-2013 : Paris-Levallois. Christophe Denis fait appel à lui, dans un roster parisien faisant déjà la part belle aux meneurs de métier (Diot, Albicy). Hélas, il alterne une nouvelle fois le bon et le moins bon, se montrant bien plus à son aise en Eurocoupe, où Paris atteint les quarts (15 points, 6 passes et 5 rebonds devant les Hongrois Szolnok) qu'en championnat, où le PL connaît une gigantesque traversée du désert lors de la phase retour (seulement quatre victoires). Encore une fois, la Leaders Cup (élimination en demi-finale contre Strasbourg) se refuse à lui. Mais pas la Coupe de France, qu'il dompte à domicile, lors d'un "derby" contre Nanterre, à Bercy. Son meilleur souvenir en carrière... mais au terme d'une saison inaboutie, où il ne peut exploiter sa vision du jeu, pourtant en net progrès la saison passée.
2011-2012 : Le Havre. Très limité financièrement, "Saint-Tho" vit un début de saison compliqué (2 victoires après 10 journées), quand Cox, lui, maintient bien souvent le navire à flot. Pour la première fois de sa carrière, il prend également le manche à la mène, ce qui a pour conséquence de faire sensiblement grimper son ratio à la passe (4,3 passes), sans pour autant altérer son efficacité au tir, y compris derrière l'arc (41 %). En fin de saison, il se met en quatre pour permettre aux Havrais de ne pas sombrer et par trois fois, dépasse même le cap des 10 passes par match. Avec, à chaque fois, la victoire au bout. Et un vrai lien de cause à effet. Pari gagné, au terme d'une saison réussie (15,8 points - 4 rebonds - 4,3 passes). Dans le même temps, en fin de saison, il honore la sélection vénézuélienne, sans pouvoir la hisser jusqu'aux Jeux Olympiques de Londres.
2010-2011 : Le Havre. Frustré, il fait son come-back en Normandie. Drivé par Jean-Manuel Sousa, qui lui redonne toute sa confiance, il retrouve ses réflexes offensifs, dans un collectif au sein duquel il endosse le rôle de leader. Après un hiver collectivement très compliqué, il tue à lui seul Vichy (29 points à 3/5 à trois points, 4 rebonds, 6 passes, 5 fautes provoquées), dans un match capital pour le maintien, symbole d'une brillante fin de saison à titre individuel. La saison de la confiance retrouvée (14,1 points à 53,1 % à 2 points - 4,1 rebonds - 3,5 passes - 3,6 fautes provoquées). D'autant que Le Havre renouvelle son bail en Pro A (13e).
2009-2010 : Nancy. Relégué dans un rôle de faire-valoir, dans un secteur extérieur nancéien densifié, il est d'entrée cantonné à la rotation, alors que le Sluc se voit privé d'Euroligue en raison de la fin du système du ranking, décidé à la fin de la saison 2008-2009. Cox, lui, voit son temps de jeu sévèrement diminué, conséquence d'un rendement en baisse, il est vrai (5,3 points à 38 % - 1,3 rebond - 1,1 passe en seulement 15 minutes). Plus sollicité en Eurocoupe, il ne permet pas aux siens d'accéder au Last 16, même s'il est le grand artisan du succès des Lorrains devant Turow (16 points en 18 minutes).
2008-2009 : Nancy. Nouvelle étape pour Cox, qui rejoint le champion de France en titre en compagnie de Jean-Luc Monschau. Le duo est censé propulser le Sluc comme il se doit sur la scène européenne. C'est au gratin du basket européen que tout ce beau monde va se frotter (Panathinaïkos, FC Barcelone, Sienne,...). C'est devant Kaunas que le Sluc et Cox (6 points) décrochent la première victoire du club en Euroligue. Bien insuffisante, hélas, pour prétendre au top 16, alors que l'Américain peine à élever son niveau de jeu (6,4 points - 2,1 rebonds - 1 passe en 10 matches), malgré un joli baroud d'honneur devant Sopot (16 points et 4 rebonds). En Pro A, Cox et le Sluc confirment plus ou moins leur statut de favori. Repositionné en tant que vrai poste 2, l'Américain fonctionne cette fois par coups d'éclat (25 points, 3 passes en 28 minutes devant Rouen), perdant même sa place dans le cinq majeur après cinq journées. En net progrès dans son rendement à deux points (52,6 %), c'est finalement en playoffs qu'il sort de sa boîte, et notamment lors d'une victoire héroïque à Villeurbanne, lors de la 1ere manche de la demi-finale (19 points, 3 passes, 3 fautes provoquées en 24 minutes.). Insuffisant, hélas, pour s'ouvrir la route de Bercy. Bercy où il s'incline en finale de Coupe de France, qui aurait pu constituer son premier trophée en carrière. Hélas, le Mans passa par là.
2007-2008 : Le Havre. En quête de stabilité, il prolonge l'aventure normande. Bien lui en prend, puisqu'il s'apprête à signer sa meilleure saison en Pro A (18,8 points - 4,2 rebonds - 3,6 passes - 3,9 fautes provoquées). De quoi s'inviter, même discrètement, au All-Star game, mais surtout à Leaders Cup et aux playoffs. Certes, sans succès pour le STB. Pour Cox, c'est le temps des cartons : à Paris d'abord (32 points, 7 rebonds, 6 passes, 7 fautes provoquées, 33 d'eval' en 40 minutes) ; devant Le Mans, ensuite. Mais, émoussé en fin de saison, il ne parvient pas à sortir Le Havre du piège tendu par Roanne en quart de finale de playoffs.
2006-2007 : Le Havre. C'est sous les ordres de Christian Monschau et aux côtés d'une sacré collection d'anciens ou de futurs Choletais (Causeur, Duport, Stanley, Jomby), qu'il décide de poursuite l'aventure en Pro A, entamant ainsi une histoire d'amour avec la cité de la Manche. D'entrée, Cox et les siens font office de grosse surprise, puisque "Saint-Tho" se hisse en tête de la meute dès la 3e journée, et une victoire in extremis devant Nancy, où Cox détonne (21 points, 5 passes, 19 d'eval'). Véritable leader offensif du club normand, ce dernier signe un hiver remarquable et surtout très régulier (17,1 points - 3,5 rebonds - 3,8 passes entre la 9e et la 19e journée), hélas peu suivi d'effet à titre collectif. Il fait même mordre la poussière à CB, à la Meilleraie (19 points à 9/9 aux lancers), en dépit d'une légère propension à forcer (30,7 % à trois points). La fin de saison chaotique des siens ne lui permet pas de goûter aux playoffs.
2005-2006 : Chalon-sur-Saône. C'est en France, dans un pays où il retrouve un art de vivre "identique à San Francisco", selon ses propres dires, qu'il démarre sa carrière pro. Pour sa première saison, il bénéficie d'un temps de jeu conséquent. Dans l'Hexagone, sa capacité de percussion trouve en effet une forme d'expression. Si Chalon est en mode diesel (2 victoires et 6 défaites après huit matches), Cox est de suite dans l'allure (21 points ; 3/5 à trois points ; 4 passes devant Paris). Devenu un élément incontournable du cinq bourguignon, il se fend d'une magnifique entame de la phase retour et fait mordre la poussière au Mans au terme d'un match où il se montra héroïque (30 points en 32 minutes). Plus irrégulier en fin de saison régulière, achevée à la 10e place, il se montre à nouveau très précieux en playoffs. Hélas, l’Élan, après être venu au bout du Havre lors des quarts de finale, tombe sur un Nancy imprenable, en deux manches, lors des demies. Mais pour Cox, la découverte de la France se solde par une réussite totale (13,2 points - 3,5 rebonds - 11,4 d'eval').
2004-2005 : San Francisco (NCAA). Sa meilleure saison universitaire, et de loin. En très nette évolution dans l'apport offensif et dans l'adresse. Hélas, très inexpérimentée, sa jeune équipe, confrontée notamment au Gonzaga de Ronny Turiaf et de J.P Batista, n'est pas en mesure de lui trouver un bras droit dans le scoring. Meilleur marqueur de la conférence (20,0 points à 41 % à 2 points), il semble prêt pour tenter sa chance chez les pros. Et c'est en France qu'il lance l'aventure.
2003-2004 : San Francisco (NCAA). Encore une fois, il vit une saison tronquée par une blessure. Il ne dispute qu'un seul match.
2002-2003 : San Francisco (NCAA). Au sein d'un effectif plus étoffé (où l'on retrouve Darrell Tucker (futur-Hyères-Toulon), il endosse le costume de leader offensif. Suffisant pour signer une saison intéressante à titre collectif (3e de saison régulière en WCC ; demi-finaliste du tournoi de la conférence), mais encore davantage à titre individuel. C'est ainsi qu'il intègre la première équipe de la WCC. Propulsé dans le top 10 des meilleurs scoreurs de la conférence (avec 15,3 points), il montre encore un fort potentiel dans tous les secteurs du jeu.
2001-2002 : San Francisco (NCAA). Remis sur pied, c'est revanchard qu'il aborde une saison censée lui faire prendre une dimension. Dans les faits, il s'émancipe offensivement et profite d'une hausse de temps de jeu offerte par Philip Mathews, son coach.Très complet par un arrière (11,7 points - 4,8 rebonds - 2,5 passes), il convainc globalement.
2000-2001 : San Francisco (NCAA). Blessé au pied, il connaît une saison blanche, tout en remettant en route, à l'été 2001, lors d'une tournée en Espagne.
1999-2000 : San Francisco (NCAA). C'est aux côtés du regretté Kenyon Jones (ex-le Havre) qu'il débute sa carrière universitaire. Dans la très difficile West Coast Conference, il signe une entrée en matière modeste (4,9 points - 2 rebonds), dans un rôle de rotation qui sied bien au freshman qu'il est
Biographie : John Cox est le fils de John Arthur "Chubby" Cox, qui disputa une saison en NBA sous la bannière des Washington Bullets au début des années 1980 et dont John se sera beaucoup inspiré. Il est également le cousin d'un certain Kobe Bryant, de qui il s'inspire notamment dans le choix de son numéro de maillot (le 8, avant que Kobe ne prenne le 24). Adepte de la natation, son chanteur préféré est Jay-Z. C'est avec un plaisir non dissimulé qu'il accepte l'invitation des organisateurs Cholet Mondial Basket 2014, qui souhaitent faire de lui le parrain de l’événement. Une carrière d'instituteur lui aurait plu, en cas d'échec dans le basket.
- 2018/19 : Sluc Nancy (Pro B)
- 2017/18 : Medi Bayreuth (Germany-BBL)
- 2016/17: Bucaneros de La Guaira (Venezuela-LPB) puis Pau-Lacq-Orthez (France Pro A)
- 2015/16 : Bucaneros de La Guaira (Venezuela-LPB)
- 2014/15 : Le Havre (Pro A)
- 2013/14 : Cholet Basket (Pro A)
- 2012/13 : Paris-Levallois (Pro A))
- 2010/12 : Le Havre (Pro A)
- 2008/10 : Nancy (Pro A)
- Eté 2008 : Marinos de Anzoategui (Vénézuela-LPB)
- 2007/08 : Le Havre (Pro A)
- Juillet 2007 : Summer League de Las Vegas avec les Philadelphia Sixers (NBA)
- 2006/07 : Le Havre (Pro A)
- 2005/06 : Chalon sur Saône (Pro A)
- 2000/05 : San Francisco (NCAA)
Équipe Nationale du Venezuela :
- 2017 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation à l'AmericaCup
- 2016 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation aux Jeux Olympiques de Rio
- 2015 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation aux Jeux Panaméricains au Canada et au Tournoi des Amériques au Mexique
- 2012 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation aux Qualifications pour les Jeux Olympiques au Venezuela
- 2010 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela
- 2009 : Sélection en Équipe Nationale du Vénézuela
- 2017/18 : Medi Bayreuth (Germany-BBL)
- 2016/17: Bucaneros de La Guaira (Venezuela-LPB) puis Pau-Lacq-Orthez (France Pro A)
- 2015/16 : Bucaneros de La Guaira (Venezuela-LPB)
- 2014/15 : Le Havre (Pro A)
- 2013/14 : Cholet Basket (Pro A)
- 2012/13 : Paris-Levallois (Pro A))
- 2010/12 : Le Havre (Pro A)
- 2008/10 : Nancy (Pro A)
- Eté 2008 : Marinos de Anzoategui (Vénézuela-LPB)
- 2007/08 : Le Havre (Pro A)
- Juillet 2007 : Summer League de Las Vegas avec les Philadelphia Sixers (NBA)
- 2006/07 : Le Havre (Pro A)
- 2005/06 : Chalon sur Saône (Pro A)
- 2000/05 : San Francisco (NCAA)
Équipe Nationale du Venezuela :
- 2017 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation à l'AmericaCup
- 2016 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation aux Jeux Olympiques de Rio
- 2015 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation aux Jeux Panaméricains au Canada et au Tournoi des Amériques au Mexique
- 2012 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela et Participation aux Qualifications pour les Jeux Olympiques au Venezuela
- 2010 : Sélection en Équipe Nationale du Venezuela
- 2009 : Sélection en Équipe Nationale du Vénézuela
- 2015/16 : Finaliste du Venezuela
- 2015/16 : Premier de la Saison Régulière de la Conférence Est du Venezuela
- 2015/16 : Participation au All Star Game du Venezuela
- 2015 : Vainqueur du Tournoi des Amériques
- 2012/13 : Vainqueur de la Coupe de France
- 2008/09 : Finaliste de la Coupe de France
- 2007/08 : Participation au All Star Game LNB
- 2004/05 : Elu dans la Première Equipe All WCC
- 2002/03 : Elu dans la Première Equipe All WCC
- 2015/16 : Premier de la Saison Régulière de la Conférence Est du Venezuela
- 2015/16 : Participation au All Star Game du Venezuela
- 2015 : Vainqueur du Tournoi des Amériques
- 2012/13 : Vainqueur de la Coupe de France
- 2008/09 : Finaliste de la Coupe de France
- 2007/08 : Participation au All Star Game LNB
- 2004/05 : Elu dans la Première Equipe All WCC
- 2002/03 : Elu dans la Première Equipe All WCC
SAISON
Afficher plus..saison Saison | club Nom du club | compétition Nom de la compétition | matches Nombre de matches | min Temps de jeu | pts Nombre de points | %tirs Pourcentage aux tirs | %2pts Pourcentage aux tirs à deux points | %3pts Pourcentage aux tirs à trois points | %lf POURCENTAGE aux LANCERS-FRANCS | ro NOMBRE DE REBONDS OFFENSIFS | rd NOMBRE DE REBONDS DÉFENSIFS | rt NOMBRE TOTAL DE REBONDS | ct Nombre de contres | pd Nombre de passes décisives | int Nombre d'interceptions | bp Nombre de balles perdues | fte NOMBRE DE FAUTES INDIVIDUELLES | eval évaluation | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2018-2019 | Nancy | France - Pro B Play-Offs | 3 | 27.7 | 11.3 | 43.5% | 36.4% | 20% | 87.5% | 1.3 | 1.7 | 3 | 0 | 3.7 | 0 | 2 | 1.3 | 7.3 | |
2018-2019 | Nancy | France - Pro B Leaders Cup | 4 | 24.8 | 8 | 39% | 46.2% | 20% | 40% | 0.3 | 2 | 2.3 | 0 | 1.5 | 0.5 | 1.5 | 1.3 | 4.5 | |
2018-2019 | Nancy | France - Pro B | 32 | 23.7 | 11.5 | 51.2% | 50% | 34.4% | 74.7% | 0.5 | 1.5 | 2 | 0.1 | 2.6 | 0.5 | 0.8 | 1.2 | 10.1 | |
2017-2018 | Medi Bayreuth | Basketball Champions League | 13 | 11.8 | 3.5 | 46.8% | 51.9% | 31.3% | 75% | 0.3 | 1.5 | 1.8 | 0 | 0.7 | 0.1 | 0.3 | 0 | 3.9 | |
2017-2018 | Medi Bayreuth | Germany - BBL | 29 | 13.8 | 4.7 | 50% | 53.8% | 44.7% | 48.3% | 0.8 | 0.5 | 1.3 | 0 | 0.9 | 0.3 | 0.4 | 0 | 4.5 | |
2017-2018 | Medi Bayreuth | Germany - BBL Play-Offs | 3 | 10 | 4.3 | 53.8% | 66.7% | 20% | 100% | 0 | 0.3 | 0.3 | 0 | 0 | 0.3 | 1 | 0 | 2 | |
2017-2018 | Medi Bayreuth | Germany - easyCredit BB | 29 | 13.8 | 4.7 | 50% | 53.8% | 44.7% | 48.3% | 0.8 | 0.5 | 1.3 | 0 | 0.9 | 0.3 | 0.4 | 0 | 4.5 | |
2017-2018 | Medi Bayreuth | Germany - easyCredit BB Play-Offs | 3 | 10 | 4.3 | 53.8% | 66.7% | 20% | 100% | 0 | 0.3 | 0.3 | 0 | 0 | 0.3 | 1 | 0 | 2 | |
2016-2017 | Venezuela | Olympic games | 5 | 27.4 | 9 | 36.5% | 26.7% | 21.4% | 80% | 1.4 | 0.8 | 2.2 | 0 | 1.6 | 1 | 1.4 | 1.8 | 3 | |
2016-2017 | Pau-L-Orthez | Pro A | 5 | 31.4 | 12 | 42.6% | 37% | 50% | 62.5% | 2 | 3.6 | 5.6 | 0 | 4.2 | 0.2 | 1.2 | 3.2 | 13 | |
2016-2017 | Pau-Lacq-Orthez | Pro A | 5 | 31.4 | 12 | 42.6% | 37% | 50% | 62.5% | 2 | 3.6 | 5.6 | 0 | 4.2 | 0.2 | 1.2 | 3.2 | 13 | |
2016-2017 | Pau-L-Orthez | Pro A - Play-Offs | 3 | 38.3 | 20 | 57.6% | 57.1% | 33.3% | 81.3% | 1 | 3.7 | 4.7 | 0 | 1.7 | 0.7 | 1 | 3 | 17.7 | |
2016-2017 | Pau-Lacq-Orthez | Pro A - Play-Offs | 3 | 38.3 | 20 | 57.6% | 57.1% | 33.3% | 81.3% | 1 | 3.7 | 4.7 | 0 | 1.7 | 0.7 | 1 | 3 | 17.7 | |
2014-2015 | Le Havre | Pro A - Play-Offs | 2 | 37 | 20.5 | 52.8% | 52.2% | 45.5% | 100% | 1 | 4 | 5 | 0 | 2 | 1 | 0 | 2 | 20 | |
2014-2015 | Le Havre | Pro A | 32 | 34.9 | 14.7 | 45.6% | 49.3% | 27.6% | 63.6% | 0.7 | 2.2 | 2.9 | 0.1 | 3.8 | 1.7 | 1.8 | 1.7 | 12.2 | |
2013-2014 | Cholet | Pro A | 30 | 33.2 | 14.6 | 52.2% | 50.2% | 38.3% | 69.6% | 1 | 2.8 | 3.8 | 0.1 | 3.8 | 1.2 | 1.7 | 1.3 | 14.4 | |
2013-2014 | Cholet | FIBA Europe Cup | 10 | 30.8 | 9.4 | 51.9% | 52.6% | 25% | 70.4% | 0.9 | 2 | 2.9 | 0.1 | 4.1 | 1.5 | 1 | 1.8 | 12 | |
2012-2013 | Levallois M. | Pro A | 29 | 22.5 | 9.2 | 49.5% | 43% | 40% | 78% | 0.7 | 1.4 | 2.1 | 0 | 1.9 | 0.9 | 0.9 | 1.3 | 8.1 | |
2012-2013 | Boulogne-Levallois | Pro A | 29 | 22.5 | 9.2 | 49.5% | 43% | 40% | 78% | 0.7 | 1.4 | 2.1 | 0 | 1.9 | 0.9 | 0.9 | 1.3 | 8.1 | |
2012-2013 | Venezuela | Olympic games - Qualifying Tournament | 2 | 19.5 | 8.5 | 47.1% | 45.5% | 50% | 50% | 0 | 0.5 | 0.5 | 0.5 | 2.5 | 1 | 1.5 | 0.5 | 7 | |
2012-2013 | Levallois M. | FIBA Europe Cup | 15 | 25.2 | 10.1 | 44.8% | 42.9% | 29.5% | 71.9% | 0.9 | 2.1 | 3 | 0.1 | 2.1 | 0.9 | 0.5 | 1.5 | 9.1 | |
2012-2013 | Boulogne-Levallois | FIBA Europe Cup | 15 | 25.2 | 10.1 | 44.8% | 42.9% | 29.5% | 71.9% | 0.9 | 2.1 | 3 | 0.1 | 2.1 | 0.9 | 0.5 | 1.5 | 9.1 | |
2011-2012 | Le Havre | Pro A | 30 | 35.5 | 15.8 | 49.5% | 43.4% | 41% | 72.3% | 0.8 | 3.2 | 4 | 0.1 | 4.3 | 1.1 | 2.1 | 1.6 | 14.7 | |
2010-2011 | Le Havre | Pro A | 27 | 34.2 | 14.1 | 50.5% | 53.3% | 24.5% | 72.1% | 1.1 | 3 | 4.1 | 0.1 | 3.5 | 1.2 | 1.9 | 1.9 | 13.4 | |
2009-2010 | Nancy | Eurocup | 6 | 19.3 | 10.3 | 50.7% | 39.1% | 29.6% | 87% | 0.3 | 1.7 | 2 | 0 | 1.3 | 0.3 | 1.3 | 1.5 | 6.7 | |
2009-2010 | Nancy | Pro A | 26 | 14.8 | 5.3 | 46.3% | 39.7% | 32.8% | 82.4% | 0.4 | 0.9 | 1.3 | 0 | 1.1 | 0.5 | 0.7 | 1.2 | 4.3 | |
2009-2010 | Nancy | Pro A - Play-Offs | 2 | 8 | 5 | 41.7% | 25% | 50% | 50% | 0 | 0 | 0 | 0.5 | 0 | 0 | 0.5 | 0.5 | 1.5 | |
2008-2009 | Nancy | Pro A - Play-Offs | 6 | 16.5 | 8.5 | 59.2% | 57.1% | 38.5% | 80% | 0 | 1.2 | 1.2 | 0 | 1.7 | 0.5 | 0.5 | 0.8 | 8 | |
2008-2009 | Nancy | Pro A | 28 | 19.8 | 9 | 48.1% | 51.8% | 39% | 64.5% | 0.4 | 1.4 | 1.8 | 0.1 | 1.9 | 0.7 | 1.4 | 1.9 | 7.6 | |
2008-2009 | Nancy | Euroleague | 10 | 18.7 | 6.4 | 33.3% | 31.8% | 30.6% | 75% | 1 | 1.1 | 2.1 | 0.1 | 1 | 0.4 | 1.6 | 1.3 | 2.8 | |
2007-2008 | Le Havre | Pro A - Play-Offs | 3 | 30.7 | 9.7 | 33.3% | 30.8% | 23.1% | 66.7% | 2.3 | 4 | 6.3 | 0 | 6 | 1.7 | 2.7 | 1.7 | 11 | |
2007-2008 | Le Havre | Pro A | 29 | 36.9 | 18.8 | 52.1% | 55% | 37.4% | 70.2% | 0.8 | 3.4 | 4.2 | 0.1 | 3.6 | 1.5 | 2 | 1.9 | 17.4 | |
2006-2007 | Le Havre | Pro A | 34 | 36.5 | 14.4 | 46.3% | 50% | 30.7% | 65.7% | 0.6 | 3 | 3.6 | 0.1 | 2.7 | 1.5 | 1.6 | 1.7 | 12.1 | |
2005-2006 | Chalon | Pro A - Play-Offs | 5 | 31.2 | 13.2 | 43.1% | 44.7% | 33.3% | 71.4% | 0.8 | 3.4 | 4.2 | 0 | 2.8 | 1 | 1 | 1.6 | 12 | |
2005-2006 | Chalon | Pro A | 32 | 28.9 | 13.2 | 48.8% | 49.4% | 38.3% | 73.9% | 0.9 | 2.6 | 3.5 | 0.2 | 1.8 | 0.8 | 1.4 | 1.8 | 11.4 |