Thierry Chevrier : « Toutes les rencontres seront des affiches »
Le tirage au sort de la prochaine Ligue des champions s'est déroulé ce mercredi 15 juillet. Cholet Basket a hérité d'un groupe relevé. Thierry Chevrier, le directeur de CB, livre son regard sur ce groupe.
Six ans après sa dernière participation à une coupe d'Europe, Cholet Basket a été gâté lors du tirage au sort de la prochaine Ligue des champions. Les hommes d'Erman Kunter affronteront l'AEK Athènes (GRE), Bamberg (ALL), Hapoel Holon (ISR), Karsiyaka (TUR), Bilbao (ESP), Bologne (ITA) et une équipe issue des barrages (Balkan, Minsk, London Lions ou Neptunas). Parmi ces formations, l'AEK Athènes, Bilbao et Karsiyaka se dégagent comme les favoris.
C'est une belle poule avec que des belles affiches, confie Thierry Chevrier, le directeur de CB. Bologne est une équipe historique. On a déjà croisé Athènesen Coupe d'Europe. Ce sera relevé. Il va falloir être consistant,. On aura beaucoup de petits déplacements (Bilbao, Athènes Bramberg, Bologne), c'est une bonne chose. Ce tirage va séduire les supporters choletais. On a des clubs de différents horizons avec des cultures différentes. Ce sera une expérience unique pour nos jeunes joueurs qui vont se frotter avec des pointures européennes. C'est particulièrement motivant de retrouver l'Europe avec d'aussi belles affiches. Toutes les rencontres seront des affiches pour Cholet, qui est un club réputé mais qui aura fort à faire dans cette poule.
Le retour de Jonathan Rousselle à la Meilleraie
Deux rencontres auront une saveur toute particulière. La première face au club turc de Karsiyaka. Le technicien choletais Erman Kunter affrontera des compatriotes. Erman est une personne qui a marqué le basket truc par sa carrière de joueur et d'entraîneur.
La deuxième, ce sera face à Bilbao avec les retrouvailles avec Jonathan Rousselle, passé par les Mauges de 2014 à 2018. Jonathan a marqué les supporters choletais, notamment par ses paniers qu'il sortait de derrière les fagots. C'est super de pouvoir retrouver Jonathan à la Meilleraie, mais on ne sera pas là pour le laisser le gagner
Source : Ouest France