44Minutes
11points marqués
00rebonds
00passes décisives
0.50.5evaluation
Moyenne sur la saison
en Pro Aen savoir plus
16 juin 1987
Saint Claude (Guadeloupe)
Française
2m02
95kg
Records en pro avec cholet basket
- présentation
- carrière
- palmarès
- saisons à CB
- Diplômes
- statistiques
- news
Très mature physiquement, et ce dès son plus jeune âge, Gary Florimont (d'abord inscrit à CB sous le nom de Gary Bardochan), qui grandit à Courbeyre (Guadeloupe), s'oriente d'abord vers les sports de combat, comme le karaté et le judo. Mais souffrant d'asthme, il lui est finalement conseillé de pratiquer un sport lui permettant de redresser sa cage thoracique. A 12 ans, alors qu'il mesure déjà 1,84 m, il suit ses oncles, qui pratiquent déjà la discipline, au cœur des salles.
Mais le courant ne passe tout de suite entre l'enfant de Basse-Terre, issu d'une famille modeste, et ses coéquipiers. Solitaire dans l'âme, le jeune Gary se voit finalement offrir par son père un ballon à l'effigie des Chicago Bulls. Un "petit" objet qui va tout changer : plus jamais, le jeune Antillais n'aura de réticence envers ce sport qu'il a d'abord pratiqué plus contraint que par conviction naturelle. Il intègre même le pôle espoirs des Abymes, où tant d'anciens Choletais ont répété leurs gammes. Lors d'un tournoi interzones en métropole, à Lyon, Gary Florimont attire déjà les regards, tant sur son gabarit (1,94 m à 15 ans) que sur son potentiel. C'est Jacques Catel, alors directeur du centre de formation de Cholet Basket, qui convainc ses parents de laisser venir leur fils dans les Mauges. Changement brutal d'atmosphère...
Heureusement, à Cholet, l'Antillais trouve en Mike Gelabale et Rodrigue Beaubois des soutiens de fer, et des amis pour la vie. Sportivement, les résultats suivent : le néo-Choletais remporte le Cholet Mondial Basket en 2003, et signe une deuxième saison honorable en espoirs (4,7 points ; 3,4 rebonds en 16 minutes), en dépit de ses difficultés récurrentes aux lancers. Mais l'intégration est réussie.
En 2006-2007, c'est l'explosion : l'Antillais survole les débats en espoirs (15,5 points à 55 % ; 7,3 rebond en 29'), et inscrit même ses deux premiers points en Pro face à Reims. Mais la concurrence est rude au sein du roster choletais, et Gary Florimont est finalement prêté à Poitiers (en Pro B), une destination qui devient un gage de temps de jeu, d'autant que l'intéressé y suit Ruddy Nelhomme, qui fut son coach en espoirs.
Sa première saison sous le maillot du PB86 est une réussite collective et personnelle. D'abord parce que le Guadeloupéen s'y plait et s'y aguerri (5,5 points ; 2,7 rebonds ; 4,9n d'évaluation en 13 minutes), et parce que le club poitevin se hisse jusqu'en finale de Pro B, hélas perdue devant Besançon.
Pour Florimont, ça n'est que partie remise. Si la saison suivante est moins aboutie en termes statistiques, en rotation de Kenny Younger, l'ex-Choletais accède au Graal et propulse son club dans l'élite française (3,9 points ; 3,3 rebonds ; 5,0 d'évaluation en 13 minutes). Une élite qui se refuse finalement à lui, puisqu'il signe à Nantes (Pro B), afin de drainer davantage de responsabilités, et donc de temps de jeu.
Avec l'Hermine, les choses sont d'abord compliquées, dans le sillage d'un début de saison 2009-2010 chaotique, tant collectivement qu'individuellement. Aux côtés de Régis Boissié, Cédric Ferchaud et Olivier Bardet, il sort finalement de sa boîte pour obtenir le maintien de l'Hermine en Pro B. L'essentiel est sauf (5,9 points ; 4,5 rebonds ; 1,9 fautes provoquées en 19 minutes), ce qui ne sera pas le cas de l'issue de la saison suivante, qu'il dispute sous les couleurs de Charleville-Mézières, où il se montre pourtant en progression dans tous les secteurs du jeu (7,2 points à 52 % ; 3,8 rebonds ; 7,2 d'évaluation en 17 minutes). Mais le club des Ardennes connaît la relégation en Nationale 1 (seulement 6 victoires sur la saison).
A Evreux, le grand Gary se donne encore davantage de dimension, tout en manquant de ramener l'ALM en Pro A, à l'issue de la saison 2012-2013. Sa meilleure dans l'antichambre 8,1 points ; 3,8 rebonds ; 2,7 fautes provoquées en 17 minutes), jusqu'alors, grâce notamment à des playoffs très réussis (20 points à 8/10, 8 rebonds pour 26 d'éval contre Reims, en 1/2 finale retour). Par la même occasion, ce poste 5 très dense attire des regards venus des formations de Pro A.
Mais c'est à Rouen, sous la direction de Laurent Sciarra, qu'il poursuit finalement l'aventure en Pro B. Une aventure d'abord mal engagée (3 victoires après 13 journées), puis bien plus prometteuse ensuite. Après un début de saison mitigée, c'est finalement dans un rôle de sortie de banc qu'il s'émancipe, et en se signalant par sa régularité. Bref, la progression est indéniable (10,3 points ; 5,7 rebonds ; 11,4 d'évaluation en 22 minutes). Cette fois, la Pro A n'est plus très loin.
Cette Pro A, Gary Florimont la retrouvera avec un promu très bien inspiré : Châlons-Reims. Sous les ordres de Nikola Antic, il seconde très correctement l'excellent Darryl Watkins, et le CCRB manque de peu une qualification en playoffs. Mieux encore : en Champagne, l'ex-Choletais y écrit une nouvelle page de sa vie d'homme. Il y vit en effet avec sa compagne et sa fille Naïla, et signe une saison 2014-2015 une nouvelle fois des plus correctes (8,5 points ; 4,9 rebonds ; 8,9 d'évaluation en 21 minutes), au point d'attirer l'attention du poids lourd de Pro A qu'est Nancy. Hélas, rien ne s'y passe comme prévu. L'avant-veille de Noel 2016, lors d'un déplacement à Orléans, il se rompt le talon d'Achille, et annonce une absence de huit mois minimum. Pire : le Sluc, malgré la bonne volonté de Greg Beugnot, est relégué en Pro B. En 2017-2018, Gary Florimont, qui renoue avec la compétition à l'occasion de la Leaders Cup, est alors le seul rescapé de cette saison chaotique, en Lorraine.
Mais le courant ne passe tout de suite entre l'enfant de Basse-Terre, issu d'une famille modeste, et ses coéquipiers. Solitaire dans l'âme, le jeune Gary se voit finalement offrir par son père un ballon à l'effigie des Chicago Bulls. Un "petit" objet qui va tout changer : plus jamais, le jeune Antillais n'aura de réticence envers ce sport qu'il a d'abord pratiqué plus contraint que par conviction naturelle. Il intègre même le pôle espoirs des Abymes, où tant d'anciens Choletais ont répété leurs gammes. Lors d'un tournoi interzones en métropole, à Lyon, Gary Florimont attire déjà les regards, tant sur son gabarit (1,94 m à 15 ans) que sur son potentiel. C'est Jacques Catel, alors directeur du centre de formation de Cholet Basket, qui convainc ses parents de laisser venir leur fils dans les Mauges. Changement brutal d'atmosphère...
Heureusement, à Cholet, l'Antillais trouve en Mike Gelabale et Rodrigue Beaubois des soutiens de fer, et des amis pour la vie. Sportivement, les résultats suivent : le néo-Choletais remporte le Cholet Mondial Basket en 2003, et signe une deuxième saison honorable en espoirs (4,7 points ; 3,4 rebonds en 16 minutes), en dépit de ses difficultés récurrentes aux lancers. Mais l'intégration est réussie.
En 2006-2007, c'est l'explosion : l'Antillais survole les débats en espoirs (15,5 points à 55 % ; 7,3 rebond en 29'), et inscrit même ses deux premiers points en Pro face à Reims. Mais la concurrence est rude au sein du roster choletais, et Gary Florimont est finalement prêté à Poitiers (en Pro B), une destination qui devient un gage de temps de jeu, d'autant que l'intéressé y suit Ruddy Nelhomme, qui fut son coach en espoirs.
Sa première saison sous le maillot du PB86 est une réussite collective et personnelle. D'abord parce que le Guadeloupéen s'y plait et s'y aguerri (5,5 points ; 2,7 rebonds ; 4,9n d'évaluation en 13 minutes), et parce que le club poitevin se hisse jusqu'en finale de Pro B, hélas perdue devant Besançon.
Pour Florimont, ça n'est que partie remise. Si la saison suivante est moins aboutie en termes statistiques, en rotation de Kenny Younger, l'ex-Choletais accède au Graal et propulse son club dans l'élite française (3,9 points ; 3,3 rebonds ; 5,0 d'évaluation en 13 minutes). Une élite qui se refuse finalement à lui, puisqu'il signe à Nantes (Pro B), afin de drainer davantage de responsabilités, et donc de temps de jeu.
Avec l'Hermine, les choses sont d'abord compliquées, dans le sillage d'un début de saison 2009-2010 chaotique, tant collectivement qu'individuellement. Aux côtés de Régis Boissié, Cédric Ferchaud et Olivier Bardet, il sort finalement de sa boîte pour obtenir le maintien de l'Hermine en Pro B. L'essentiel est sauf (5,9 points ; 4,5 rebonds ; 1,9 fautes provoquées en 19 minutes), ce qui ne sera pas le cas de l'issue de la saison suivante, qu'il dispute sous les couleurs de Charleville-Mézières, où il se montre pourtant en progression dans tous les secteurs du jeu (7,2 points à 52 % ; 3,8 rebonds ; 7,2 d'évaluation en 17 minutes). Mais le club des Ardennes connaît la relégation en Nationale 1 (seulement 6 victoires sur la saison).
A Evreux, le grand Gary se donne encore davantage de dimension, tout en manquant de ramener l'ALM en Pro A, à l'issue de la saison 2012-2013. Sa meilleure dans l'antichambre 8,1 points ; 3,8 rebonds ; 2,7 fautes provoquées en 17 minutes), jusqu'alors, grâce notamment à des playoffs très réussis (20 points à 8/10, 8 rebonds pour 26 d'éval contre Reims, en 1/2 finale retour). Par la même occasion, ce poste 5 très dense attire des regards venus des formations de Pro A.
Mais c'est à Rouen, sous la direction de Laurent Sciarra, qu'il poursuit finalement l'aventure en Pro B. Une aventure d'abord mal engagée (3 victoires après 13 journées), puis bien plus prometteuse ensuite. Après un début de saison mitigée, c'est finalement dans un rôle de sortie de banc qu'il s'émancipe, et en se signalant par sa régularité. Bref, la progression est indéniable (10,3 points ; 5,7 rebonds ; 11,4 d'évaluation en 22 minutes). Cette fois, la Pro A n'est plus très loin.
Cette Pro A, Gary Florimont la retrouvera avec un promu très bien inspiré : Châlons-Reims. Sous les ordres de Nikola Antic, il seconde très correctement l'excellent Darryl Watkins, et le CCRB manque de peu une qualification en playoffs. Mieux encore : en Champagne, l'ex-Choletais y écrit une nouvelle page de sa vie d'homme. Il y vit en effet avec sa compagne et sa fille Naïla, et signe une saison 2014-2015 une nouvelle fois des plus correctes (8,5 points ; 4,9 rebonds ; 8,9 d'évaluation en 21 minutes), au point d'attirer l'attention du poids lourd de Pro A qu'est Nancy. Hélas, rien ne s'y passe comme prévu. L'avant-veille de Noel 2016, lors d'un déplacement à Orléans, il se rompt le talon d'Achille, et annonce une absence de huit mois minimum. Pire : le Sluc, malgré la bonne volonté de Greg Beugnot, est relégué en Pro B. En 2017-2018, Gary Florimont, qui renoue avec la compétition à l'occasion de la Leaders Cup, est alors le seul rescapé de cette saison chaotique, en Lorraine.
- 2012/22 : Union Sainte Marie Metz Basket (NM2)
- 2020/21 : Orléans (Jeep®Elite Pro A)
- 2018/20 : Paris Basketball (Pro B)
- 2016/18 : Nancy (Pro B)
- 2014/16 : Châlons-Reims (Pro A)
- 2013/14 : Rouen (Pro B)
- 2011/13 : Evreux (Pro B)
- 2010/11 : Charleville-Mezières (Pro B)
- 2009/10 : Nantes (Pro B)
- 2007/09 : Poitiers (Pro B)
- 2006/07 : Cholet Basket (Espoirs et Pro A)
- 2002/06 : Cholet Basket (Centre de Formation)
- Avant 2002 : Basse Terre (Guadeloupe)
Equipe de France :
- 2006 : Sélection en Equipe de France U20 et Participation au Championnat d'Europe en Turquie
- 2005 : Sélection en Equipe de France U18 et Participation au Championnat d'Europe en Bosnie
- 2020/21 : Orléans (Jeep®Elite Pro A)
- 2018/20 : Paris Basketball (Pro B)
- 2016/18 : Nancy (Pro B)
- 2014/16 : Châlons-Reims (Pro A)
- 2013/14 : Rouen (Pro B)
- 2011/13 : Evreux (Pro B)
- 2010/11 : Charleville-Mezières (Pro B)
- 2009/10 : Nantes (Pro B)
- 2007/09 : Poitiers (Pro B)
- 2006/07 : Cholet Basket (Espoirs et Pro A)
- 2002/06 : Cholet Basket (Centre de Formation)
- Avant 2002 : Basse Terre (Guadeloupe)
Equipe de France :
- 2006 : Sélection en Equipe de France U20 et Participation au Championnat d'Europe en Turquie
- 2005 : Sélection en Equipe de France U18 et Participation au Championnat d'Europe en Bosnie
- 2008/09 : Champion de France ProB
- 2008/09 : Premier de la Saison Régulière ProB
- 2007/08 : Finaliste ProB
- 2005/06 : Elu dans le 5 Majeur du Championnat Espoirs
- 2002/03 : Vainqueur du Tournoi International Cadets de la Jeune France de Cholet
- 2008/09 : Premier de la Saison Régulière ProB
- 2007/08 : Finaliste ProB
- 2005/06 : Elu dans le 5 Majeur du Championnat Espoirs
- 2002/03 : Vainqueur du Tournoi International Cadets de la Jeune France de Cholet
Titulaire du Bac éléc.
SAISON
Afficher plus..saison Saison | club Nom du club | compétition Nom de la compétition | matches Nombre de matches | min Temps de jeu | pts Nombre de points | %tirs Pourcentage aux tirs | %2pts Pourcentage aux tirs à deux points | %3pts Pourcentage aux tirs à trois points | %lf POURCENTAGE aux LANCERS-FRANCS | ro NOMBRE DE REBONDS OFFENSIFS | rd NOMBRE DE REBONDS DÉFENSIFS | rt NOMBRE TOTAL DE REBONDS | ct Nombre de contres | pd Nombre de passes décisives | int Nombre d'interceptions | bp Nombre de balles perdues | fte NOMBRE DE FAUTES INDIVIDUELLES | eval évaluation | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2020-2021 | Orléans | Jeep® Elite | 8 | 18.3 | 5.5 | 68.8% | 68.8% | 0% | 0% | 1.6 | 2 | 3.6 | 0 | 0.5 | 0.5 | 1.5 | 3.1 | 7.4 | |
2019-2020 | Paris Basketball | France - Pro B Leaders Cup | 6 | 30.3 | 12.3 | 55.8% | 50% | 0% | 80% | 1.5 | 4.7 | 6.2 | 0.2 | 1.7 | 1 | 2.2 | 1.8 | 13.5 | |
2019-2020 | Paris Basketball | France - Pro B | 22 | 25.2 | 10.1 | 57.2% | 56.8% | 0% | 59% | 1.4 | 3.7 | 5.1 | 0.2 | 2.1 | 0.5 | 2.1 | 2.4 | 11.8 | |
2018-2019 | Paris Basketball | France - Pro B Leaders Cup | 6 | 18.8 | 5.5 | 46.2% | 42.9% | 0% | 75% | 0.5 | 3 | 3.5 | 0 | 1 | 0.2 | 0.5 | 2.7 | 6.2 | |
2018-2019 | Paris Basketball | France - Pro B | 34 | 22.8 | 10.4 | 56.8% | 54.5% | 0% | 68.3% | 1.1 | 3.4 | 4.5 | 0.3 | 1.9 | 0.7 | 2.2 | 2.8 | 11.2 | |
2017-2018 | Nancy | France - Pro B | 32 | 16.8 | 5.4 | 52.5% | 53.8% | 0% | 48.6% | 1.5 | 2.4 | 3.9 | 0.4 | 1.1 | 0.7 | 1.4 | 0 | 7.3 | |
2017-2018 | Nancy | France - Pro B Leaders Cup | 4 | 11.5 | 4.5 | 39.3% | 36.8% | 0% | 44.4% | 0.5 | 1.5 | 2 | 0 | 0.5 | 0.3 | 0.8 | 2.3 | 2.3 | |
2017-2018 | Nancy | France - Pro B Leaders Cup Play-Offs | 2 | 15.5 | 2 | 25% | 25% | 0% | 0% | 1 | 3 | 4 | 0 | 1.5 | 1 | 0.5 | 3 | 5 | |
2017-2018 | Nancy | France - Pro B Play-Offs | 2 | 18 | 8 | 50% | 57.1% | 0% | 0% | 0.5 | 4 | 4.5 | 0 | 2 | 1 | 2 | 0 | 9.5 | |
2016-2017 | Nancy | Pro A | 14 | 18.2 | 4.3 | 46.7% | 45.5% | 0% | 50% | 2 | 2.1 | 4.1 | 0.1 | 0.7 | 0.2 | 0.9 | 2.6 | 5.7 | |
2015-2016 | Châlons-Reims | Pro A | 34 | 21.6 | 8.5 | 52.2% | 49.2% | 0% | 65.1% | 2.1 | 2.8 | 4.9 | 0.1 | 1 | 0.4 | 1.6 | 2.6 | 8.9 | |
2014-2015 | Châlons-Reims | Pro A | 34 | 15 | 6.4 | 59.2% | 57.6% | 0% | 65.9% | 1.1 | 2.2 | 3.3 | 0.3 | 0.5 | 0.5 | 1.2 | 2.8 | 7.3 | |
2013-2014 | Rouen | France - Pro B | 44 | 22.7 | 10.3 | 59.3% | 55% | 50% | 68.7% | 1.8 | 3.5 | 5.3 | 0.6 | 1.1 | 0.7 | 2.3 | 3.5 | 11.4 | |
2012-2013 | Evreux | France - Pro B Play-Offs | 5 | 20.2 | 11.8 | 71.2% | 62.9% | 0% | 88.2% | 1.6 | 1.8 | 3.4 | 0.8 | 1.8 | 0.4 | 1.4 | 3 | 13.8 | |
2012-2013 | Evreux | France - Pro B | 33 | 17.5 | 7.8 | 55.2% | 47.7% | 0% | 70% | 1.4 | 2.6 | 4 | 0.5 | 0.8 | 0.5 | 2.4 | 2.5 | 7.3 | |
2011-2012 | Evreux | France - Pro B | 33 | 13.1 | 5.1 | 53.3% | 47.3% | 0% | 65.2% | 1 | 1.8 | 2.8 | 0.2 | 0.5 | 0.4 | 1.5 | 2.4 | 4.6 | |
2010-2011 | Charleville-Méz. | France - Pro B | 32 | 18.1 | 7.7 | 55.1% | 54.3% | 0% | 58.2% | 1.7 | 2.3 | 4 | 0.3 | 0.8 | 0.6 | 2.1 | 2.4 | 7.6 | |
2009-2010 | Nantes | France - Pro B | 34 | 19.2 | 5.9 | 50% | 50.3% | 0% | 50% | 1.4 | 3.1 | 4.5 | 0.3 | 0.9 | 0.7 | 1.9 | 2.9 | 7.1 | |
2008-2009 | Poitiers | France - Pro B Play-Offs | 7 | 12.3 | 3.6 | 42.4% | 45.8% | 0% | 33.3% | 1.6 | 2.4 | 4 | 0.9 | 0.7 | 1 | 1.1 | 3.1 | 6.3 | |
2008-2009 | Poitiers | France - Pro B | 34 | 13.3 | 4 | 47.6% | 47.5% | 0% | 50% | 1.3 | 1.8 | 3.1 | 0.1 | 0.7 | 0.4 | 1.2 | 2.5 | 4.7 | |
2007-2008 | Poitiers | France - Pro B Play-Offs | 6 | 13.5 | 6.2 | 44.4% | 45.9% | 0% | 37.5% | 1.5 | 1.8 | 3.3 | 0 | 0.2 | 0.2 | 1.3 | 2.3 | 4.3 | |
2007-2008 | Poitiers | France - Pro B | 32 | 13.7 | 5.6 | 55.9% | 54.7% | 0% | 61.9% | 0.8 | 1.9 | 2.7 | 0.2 | 0.4 | 0.3 | 1.2 | 2.4 | 5.2 | |
2006-2007 | Cholet U21 | France - Jeep Elite U21 | 31 | 28.6 | 15.5 | 53% | 55.7% | 0% | 46.9% | 0 | 0 | 0 | 0.6 | 1.7 | 1.3 | 4.4 | 0 | 14.4 | |
2006-2007 | Cholet U21 | France - Pro A U21 | 31 | 28.6 | 15.5 | 53% | 55.7% | 0% | 46.9% | 0 | 0 | 0 | 0.6 | 1.7 | 1.3 | 4.4 | 0 | 14.4 | |
2006-2007 | Cholet | Pro A | 2 | 4 | 1 | 100% | 100% | 0% | 0% | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0.5 | 0.5 | 0.5 | |
2006-2007 | U20 France | U20 European Championship - Div A | 8 | 16.6 | 3.4 | 34.8% | 30.6% | 0% | 50% | 1.4 | 2.6 | 4 | 0.5 | 0.5 | 1 | 1.8 | 2.3 | 3.9 | |
2005-2006 | U18 France | U18 European Championship - Div A | 8 | 21 | 7.3 | 49.3% | 45.1% | 100% | 60% | 2 | 4 | 6 | 0.8 | 0.5 | 1.3 | 1.9 | 2.4 | 9.6 | |
2005-2006 | Cholet | Pro A | 2 | 1 | 0 | 49.3% | 0% | 0% | 0% | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0.5 | 0 | 0 | 0.5 | |
2005-2006 | Cholet U21 | France - Pro A U21 | 31 | 26.7 | 13.5 | 57.6% | 56.4% | 41.7% | 61.3% | 0 | 0 | 0 | 0.9 | 1.5 | 1.7 | 3.6 | 0 | 16.4 | |
2005-2006 | Cholet U21 | France - Jeep Elite U21 | 31 | 26.7 | 13.5 | 57.6% | 56.4% | 41.7% | 61.3% | 0 | 0 | 0 | 0.9 | 1.5 | 1.7 | 3.6 | 0 | 16.4 |