Dans le cadre de la 25ème Fête du Mini-Basket du Comité 49, Thierry Chevrier a accepté de livrer son témoignage...

Cursus :

- À commencer le basket à Trémont, petite commune du vignoble Saumurois.
- Joueur de Cholet Basket ayant gravi tous les échelons de l'Excellence Départementale à la N1A (12 saisons)
- Entraîneur de l’Anjou BC (11 saisons) puis de l’Hermine de Nantes (2 saisons)
- Directeur de Cholet Basket, section Pro depuis 2003.

Mes souvenirs :

J’ai 3 impressions qui mes restent dans la tête quand on évoque le 8 mai :

- C’est d’abord une fête familiale. Les jeunes viennent accompagnés des parents, grands parents, frères et sœurs. Mes trois enfants y ont participé en tant que joueurs et bien sûrs j’étais sur le bord des terrains.

Il y a bien sûr les aléas de la météo, mais il y a souvent des petits pépins sur les tenues de sport pour faire râler les mamans : tenues déchirées lors d’une chute, survêtement qui prennent des tâches de goudron…

Il y aussi les petits ennuis de santés : chutes, heurts entre joueurs… (mon fils s’est cassé 2 dents en tombant sur le goudron !!)

- C’est aussi un lieu incontournable du mini-basket. On y rencontre quelques futurs talents et j’y viens quelque fois avec un œil averti et intéressé pour repérer tel ou tel joueur émergeant.

Je suis un compétiteur et j’aimais bien la formule de tournois avec finales, mais la formule actuelle doit plaire puisqu’il n’y a pas de baisse de la fréquentation.

- Côté équipes professionnelles, j’y suis venu avec Anjou BC et Cholet Basket.
Quand les championnats se terminaient fin avril, ce match de clôture a souvent été l’occasion d’essayer de nouveaux joueurs pour préparer la saison suivante.

Désormais ce n’est plus le cas, toutefois, les joueurs restent très professionnels. Sur cette rencontre, il y a une saine rivalité, conviviale, mais disputée.

Enfin, et pour conclure, ce qui est très impressionnant sur le 8 mai, c’est le bruit qui y règne. C’est une véritable ruche, avec plein de grouillements, et des mouvements dans tous les sens.