Questions à Gérald Ayayi
Quel est ton sentiment après la victoire à Blois et la fin de la série de défaites ?
Cette victoire c'est beaucoup de soulagement, parce que l'on met fin à une série de défaites. C'est aussi beaucoup d'espoir, car ça permet de nous remettre sur de bons rails et de rester sur nos objectifs.
Comment envisages-tu le match de Noël face au Mans ce soir ?
Franchement, c'est beaucoup d'excitation. La salle sera pleine et en plus c'est un match de derby. On est allé chercher une grosse victoire chez eux au match aller du coup ça va être un très gros match et franchement, j'ai très hâte. Je pense que ça va être une bonne soirée à Cholet.
Penses-tu que l'équipe peut remporter un trophée cette saison ?
Je pense que oui et franchement, ça serait bien. L'objectif c'est toujours de faire mieux que l'an dernier et l'an dernier, ils sont passés pas loin de chercher un trophée. Ducoup l'objectif de cette année ça va être de glaner un trophée et peu importe le trophée. Je pense que c'est atteignable si on s'en donne les moyens.
Quels sont tes qualités et tes défauts dans le jeu ?
Je pense que mes qualités s'expriment défensivement et dans la percussion, la transition, la course, tandis que mes axes d'amélioration vont vraiment être sur mes tirs extérieur.
Qui est ton idole et qui t'as donné l'envie de faire du basket ?
Mon idole, c'était le regretté Kobe Bryant et ce qui m'a donné l'envie de faire du basket, c'est la famille (mon père, ma grande sœur et mon grand frère) C'est vraiment eux qui m'ont motivé à aller plus loin et à devenir professionnel.
As-tu du faire beaucoup de sacrifices pour en arriver là ?
Oui j'ai fait pas mal de sacrifices, il faut parfois savoir mettre sa vie personnelle de côté pour passer des fois des heures à regarder des matches de basket ou bien être à l'entrainement, à la salle, prendre du temps pour bien récupérer, bien manger, bien dormir. C'est une habitude qu'il faut prendre, au début, on peut appeler ça un sacrifice mais, maintenant je ne vois plus ça comme des sacrifices, car c'est devenu un peu comme une routine.